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Mardi 20 octobre 2009 :
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La semaine dernière a été une semaine noire pour les transports ferroviaires et s’est achevé en point d’orgue vendredi après-midi avec l’effondrement total des réseaux à la fois TGV (vous connaissez, ces fameux réseaux « phares » de
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Je ne vais pas revenir sur les causes multiples de ce naufrage ferroviaire qui a touché notre région remarquant simplement que la panne électrique de vendredi survenant sur un fond déjà perturbé n’a fait que plonger nos réseaux dans l’anarchie la plus complète.
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Je ne reviendrais pas non plus sur le manque chronique d’informations en provenance de
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Toutefois, dans ce naufrage, un élément est à prendre en compte :
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Or, une semaine comme nous venons de vivre, et comme la suivante s’annonce avec la grève de mardi, met à bas des mois d’efforts et repoussent vers cette voiture honni les usagers durement gagné par des campagnes de presse coutant elles aussi des sommes rondelettes.
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Nos élus ont beau se réfugier derrière une argumentation qui a fait ses preuves ; « il est difficile de se battre contre
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Au moment du « grenelle de l’environnement », au moment où le développement durable est sur toutes les lèvres, il serait criminel de sombrer dans un fatalisme de mauvais aloi en « laissant faire parce qu’on ne peut rien faire ».
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Le plus stupéfiant dans cette histoire, c’est de constater que même les coups de gueule, les amendes et autres manœuvres de rétorsions ne modifient en rien la désorganisation quotidienne. Il reste que dans une entreprise où le dialogue social se tient entre deux préavis de grève, trois retards, quatre incidents techniques et une espèce d'à peu près lancinant, il ne faut pas s'étonner des piètres résultats de fréquentation.
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La logique voudrait que tout soit mis en œuvre pour nous pousser à prendre les transports en commun et au premier chef le train
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Quand on voit le service fourni la semaine dernière et ce qui s’annonce cette semaine, on reste sceptique et franchement … dégouté
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