samedi 6 octobre 2007

Nous travaillons ensemble !

Vendredi 5 octobre 2007 :
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Vous attendiez tous un papier de ma part un papier incendiaire sur la réunion du 4 octobre qui s’est déroulé dans le chef lieu des Bouches du Rhône. Certains m’ont même dit qu’il fallait que j’aille au charbon.
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Perdu, je ne ferais pas de compte rendu détaillé dans l’immédiat pour la bonne et simple raison que je ne me sens pas concerné par ce qui s’est déroulé dans cette réunion.
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J’ai perdu deux heures d’un emploi du temps surchargé pour entendre parler d’affaire marseillo-marseillaises, écouter des interventions qui ne nous concernait pas pour la plupart, entendre des demandes d’élections/nominations/désignations d’un bureau/conseil/équipe provisoire/temporaire/définitif (rayer les mentions inutiles) et passer d’un débriefing sur Seignosse à "tout, ici et maintenant" en oubliant au passage les formes élémentaires du savoir-vivre et de la démocratie.
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Bon, soyons clair. Cette bagarre là ne m’intéresse pas !
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Je préfère continuer à faire ce que je fais depuis déjà six mois : construire le Mouvement Démocrate avec des UDF (William, Joseph, moi et les autres), des ex-Verts (Frédéric et Nadège pour les deux les plus emblématiques), des nouveaux (dont Serge et sa tapenade, Sandrine et sa communication, Nathalie et ses questions) et, nec plus ultra, Bernard notre belge plus vitrollais que nature désormais et Corinne …
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Alors, les petits marseillais, que vous soyez UDF ou ex-Verts, nouveaux MoDem ou anciens je ne sais quoi, arrêtez de polluer notre travail par des discussions stériles et restez chez vous par pitié. Nous n’avons pas besoin de vous et de vos querelles lamentables.
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Heureusement qu’il existe des endroits où le MoDem se construit sereinement (Salon, Aubagne, Vitrolles pour n’en citer que trois, pardon aux autres)
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Quant à « élire » une tête de liste pour être plus « démocratique », il faudrait d’abord la trouver ! Et quand on l’a trouvé, il faut ensuite la garder !
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Enfin j’en profite aussi pour signaler que le travail peut très bien se faire ensemble sans bureau provisoire ni prise de bec lamentable avec simplement un peu de bonne volonté et en laissant les égos au vestiaire.
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Maintenant, pour être concret, je propose de laissez Marseille régler elle-même son problème en interne et nous, de travailler vraiment main dans la main comme nous le faisons déjà dans certains lieux sans s'occuper de ce qui se passe dans notre chef lieu.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"Et pour certains, qu'ils méditent cette petite phrase de Tacite : "Ruerunt in servitudinem""

Oui enfin... Tacite dénonçait aussi le métissage ethnique qui touchait alors l'Empire... et louait la pureté des Germains. En procédant comme vous, on peut aller loin.