« L » … à découvrir à tout prix !

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Samedi 30 avril 2011 :
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Pour terminer ce qui fut pour moi une semaine bien méritée de vacances et avant de réattaquer dès lundi prochain mes papiers « percutants », voici une dernière « vidéo » de ce qui fut mon dernier coup de cœur musical.
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Raphaële LANNADERE dite « L » est très certainement l’artiste de l’année.
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Tiré de l'album « Premières Lettres » de L, voici donc « Mes lèvres ».
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A écouter à tout prix
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Lien internet de la vidéo :
http://youtu.be/7H2zyv4tzlo
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Gardanne, gaz de schiste ou pas ?

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Vendredi 29 avril 2011 :
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LCM s’est penché il y a peu sur le problème du permis concernant la recherche des gaz de schiste dans la région de Gardanne.
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A regarder, écouter voire à revoir si une seule vision ne suffit pas !
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Lien internet de cette vidéo :
http://youtu.be/fQpKRlu02Ek
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Pour approfondir, les articles suivants sur mon blog :

Gaz de schiste, l’exploitation encore possible
http://mathon.blogspot.com/2011/04/linfo-du-dimanche-gaz-schiste.html
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Gaz de schiste, ressource controversée
http://mathon.blogspot.com/2011/04/linfo-du-dimanche-gaz-schiste-ressource.html
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Gaz de schiste, Bennhamias interpelle la commission européenne
http://mathon.blogspot.com/2011/02/gaz-de-schiste-jean-luc-bennahmias.html
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Encore les nuisances sonores

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Jeudi 28 avril 2011 :
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Alors que la semaine prochaine plusieurs adhérents de l’Association de Défense de l’Environnement de Vitrolles (A.D.E.V.), je pense qu’il est temps de jeter un petit coup d’œil au rétroviseur et entre autre à la manifestation du 4 juin 2010 à l’aéroport de Marignane.
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Bon visionnage.
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Lien internet de la vidéo :
http://www.youtube.com/watch?v=j154Pe4AdOY
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Parlons station d’épuration …

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Mercredi 27 avril 2011 :
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Aujourd’hui, pas de « jour, le jour » mais une petite émission « piquée » à LCM concernant notre station d’épuration et son mode de fonctionnement.
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Instructif, c’est le moins que l’on puisse dire.
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Sans oublier que c’est la Société des Eaux de Marseille qui la gère avec Veolia derrière et à rapprocher de la lutte actuelle et des interrogations concernant la remunicipalisation de l’eau que se posent de très nombreuses municipalités.
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Lien internet de la vidéo :
http://www.youtube.com/watch?v=JKtkJEFOnpQ
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« Les signes » de Radikal MC

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Mardi 26 avril 2011 :
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Cette semaine, pas de politique au programme, désolé pour ceux qui attendaient ces sujets avec impatience. Comme je suis en congé pour une semaine, bien méritée d’ailleurs, je vais profiter de cet intermède pour vous faire découvrir quelques aspects de la culture.
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J’ai découvert par le biais de l’émission « France O Folies » sur France O plusieurs jeunes acteurs de la scène musicale des Hauts-de-Seine.

Parmi ces jeunes acteurs qui méritent plus que le détour et que vous pouvez encore découvrir par le biais des rediffusions de cette émission sur PLUZZ. J’ai découvert un rappeur de Chatillon. Alors que le RAP et moi sommes plutôt sur deux planètes différentes, la personnalité, les textes et les mélodies de celui-ci sortent de l’ordinaire et demandent à ce qu’on s’y arrête quelques minutes, voire plus si affinité.

Donc, voici un titre de Radikal MC, « Les signes » :
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.Lien internet de la vidéo « Les Signes » :
http://www.youtube.com/watch?v=9sQV7-7KCw0
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Lien internet du documentaire « France O Folies » :
http://www.pluzz.fr/franceo-folies-2011---le-doc.html
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Lien internet du concert « France O Folies » :
http://www.pluzz.fr/franceo-folies-2011---le-concert.html
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L’Etang de Berre, de nouveau

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Lundi 25 avril 2011 :
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En ce lundi matin, petit retour en arrière avec un reportage de France 3 et les équipe de « 30 million d’amis ».
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Dans le cadre de cette vénérable émission, un reportage a donc été tourné sur Quitus et Gerald FUXA, les « chevaliers » défenseurs de l’étang de Berre. Je vous laisse découvrir cela par vous-même.
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Bon visionnage
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Quitus et l'étang de Berre à FR3 Trente millions... par Etang_Maintenant

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Lien internet de la video :
http://www.dailymotion.com/video/xh48s1_quitus-et-l-etang-de-berre-a-fr3-trente-millions-amis_animals
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L’info du dimanche : Gaz schiste, l’exploitation encore possible

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Dimanche 24 avril 2011 :
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La rubrique dominicale de mon blog, « l’info du dimanche », cette information locale, régionale ou nationale glanée dans la presse et qui m’a fait bondir de colère ou de joie durant la semaine.
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Alors que les prises de position se multiplient dans le monde concernant l’exploitation des gaz de schiste, alors que la France semblait s’engager sur la voie de l’interdiction pure et simple de l’exploitation, voilà que le quotidien « Le Monde » laisse publie un article qui laisse la porte ouverte à beaucoup de chose. Je vous le laisse découvrir …
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Bonne lecture !
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Paris ne ferme pas la porte à l'exploitation des gaz de schiste
LEMONDE.FR avec AFP | 21.04.11 | 22h33 • Mis à jour le 22.04.11 | 16h58
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La France ne renonce pas à la recherche scientifique pour s'autoriser, dans l'avenir, un possible recours aux gaz de schiste. "Aujourd'hui, il y a des risques incontestablement qui ne sont pas bien maîtrisés, a réaffirmé, vendredi 22 avril, le ministre de l'énergie, Eric Besson. En même temps, la science va progresser, et il faut se donner les moyens que peut-être un jour, dans deux ans-trois ans, on trouve que l'exploitation peut être faite".
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"Ce qui est important, a-t-il ajouté sur France Info, c'est de dire qu'il n'y aura pas exploration et exploitation. En même temps, ne fermons pas définitivement la porte. Le gaz naturel dans la roche, peut-être que ce sera un jour une source d'énergie intéressante. C'est le cas des Etats-Unis."
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UN PRÉ-RAPPORT DÉFEND LA POURSUITE DES TRAVAUX
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Rendu public jeudi 21 avril, un rapport d'étape sur les enjeux économiques, sociaux et environnementaux des huiles et gaz de schiste s'est révélé favorable à la poursuite des travaux de recherche et d'exploration, mais sous un contrôle très strict. Il avait été demandé début février par la ministre de l'écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, et par M. Besson, après qu'ils ont suspendu tous les projets d'exploration de ces hydrocarbures non conventionnels, qui soulèvent une vaste opposition des écologistes.
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"Il serait dommageable, pour l'économie et pour l'emploi, que notre pays aille jusqu'à s'interdire (...) de disposer d'une évaluation approfondie de la richesse potentielle" de ces gisements, indiquent les auteurs du rapport d'étape. "Mais pour ce faire, il est indispensable de réaliser des travaux de recherche et des tests d'exploration", ajoutent-ils.
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Les experts recommandent que ces expérimentations soient assorties d'un "encadrement strict". Ils suggèrent ainsi la création d'un comité scientifique national composé d'experts du Bureau de récherches géologiques et minières (BRGM, un service géologique national), de l'Ifpen (Institut des énergies nouvelles) et de l'Ineris (Institut national de l'environnement industriel et des risques).
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"Mon premier sentiment était le bon, ces autorisations n'auraient pas dû être données avant l'évaluation environnementale", a déclaré la ministre de l'écologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, réagissant aux conclusions du pré-rapport. Selon elle, ce texte indique qu'"il y a besoin de beaucoup de travaux complémentaires avant de conclure dans un sens ou dans l'autre".
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Initialement, le rapport final de la mission chargée d'étudier les enjeux des "hydrocarbures de roche mère" (huiles et gaz de schiste), était attendu fin mai, mais ses travaux pourront être prolongés.
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VERS PLUS DE CONCERTATION
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Disséminés dans la roche au lieu d'être concentrés dans des poches, les gaz et huiles de schiste sont extraits grâce à des forages horizontaux qui fracturent la roche en injectant d'énormes quantités d'eau, de sable et de produits chimiques. Les auteurs du pré-rapport citent quatre conditions qui doivent être "impérativement satisfaites" avant toute exploration : une bonne connaissance de la géologie et de l'hydrogéologie locales, l'utilisation des meilleures technologies disponibles, un strict encadrement juridique et technique des travaux de recherche et des contrôles rigoureux.
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Le bassin parisien devrait renfermer d'importants gisements d'huile de schiste (100 millions de mètres cubes techniquement exploitables) et le sud de la France, du gaz de schiste (500 milliards de mètres cubes).
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Le premier ministre, François Fillon, avait annoncé, le 13 avril, qu'il allait annuler les permis d'exploration accordés en 2008, 2009 et 2010 avec les technologies actuelles, objets de vives critiques des écologistes. Il avait néanmoins gardé la porte ouverte à cette filière énergétique à condition d'utiliser de nouvelles techniques. Le gouvernement avait aussi annoncé son soutien aux projets de loi déposés, dont l'un issu de la majorité UMP, pour interdire les explorations.
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Un débat est prévu le 10 mai à l'Assemblée nationale.
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Mais ce rapport risque de ne pas calmer la contestation contre le gaz de schiste. Celle-ci a donné lieu à une importante mobilisation dans les zones concernées ces dernières semaines (édition abonnés). La ministre de l'écologie a cependant rappelé que, parallèlement, il est "prévu de réfléchir à l'ouverture du code minier pour aller vers plus de concertation." Il est notamment prévu que les populations soient consultées sur tout projet susceptible d'avoir des impacts sur l'environnement.
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Une tentative de censure inacceptable

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Samedi 23 avril 2011 :
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Je comptais mettre aujourd’hui sur ce blog la vidéo de Gérald Fuxa et de Quitus. Au vu l’actualité internet vitrollaise, je reporte cette vidéo à un jour de la semaine pas encore fixé.
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Aujourd’hui, je me permets de changer mes habitudes de programmation et de faire une digression pour annoncer mon soutien plein et entier à l’autre blogueur politique de Vitrolles, en l’occurrence Didier HACQUART.
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En effet, son blog : http://didier-hacquart.over-blog.com/ a été l’objet ces derniers jours de plusieurs demandes de fermeture de la part d’internautes, officiellement pour « contenu litigieux ».
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Vu la nature des messages et les adresses mails laissées à son hébergeur, il ne fait aucun doute que nous nous trouvons en face d’une tentative d’intimidation dont l’origine ne fait aucun doute.
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Courage Didier, je suis persuadé que les vrais démocrates et les vrais internautes citoyens te soutiennent. Et quoi qu'il arrive, toute censure est inacceptable.
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En attendant, je ne peux que vous conseiller de vous rendre sur son blog
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Jean-Claude MATHON
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Immigration: "Il n'y a de solution qu'à l'échelle européenne !"

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Vendredi 22 avril 2011 :
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Yann Wehrling, porte-parole du Mouvement Démocrate, tenait son point presse hebdomadaire mardi 19 avril. Il a exprimé à cette occasion ses regrets quant à l'attitude de la France et de l'Italie qui "se renvoient la balle" en matière d'immigration.
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"Il est assez indécent que des pays européens se comportent ainsi sur les questions d'immigration. Il faut une action à l'échelle de l'Europe. Quand on pense qu'il n'y a même pas de police commune des frontières, c'est aberrant", a-t-il poursuivi.
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La tension monte depuis une dizaine de jours entre Paris et Rome après la décision des autorités italiennes de délivrer des permis de séjour aux quelque 20.000 Tunisiens débarqués sur ses côtes depuis janvier pour qu'ils puissent rejoindre "amis et parents" en France et ailleurs en Europe.
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"L'Italie a certainement raison de dire que ce n'est pas un problème qui la concerne elle seule. L'ensemble des pays européens doivent se partager la charge du problème", a-t-il fait valoir. "Et puis, au lieu de faire des généralités, il faudrait rappeler qu'on est dans des circonstances exceptionnelles. On sait ce qui s'est passé en Tunisie. Peut-être aurait-on pu aborder cela avec une réponse exceptionnelle", a-t-il suggéré.
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"En réalité, cela révèle que nous n'avons toujours pas de politique et d'organisation communes européennes d'immigration, en particulier en ce qui concerne une police des frontières commune", souligne Yann Wehrling.
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Le responsable centriste a par ailleurs dénoncé la proximité des propositions de Claude Guéant sur la réduction de 10 pour cent de l'immigration légale avec celles du FN.
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"La réduction de l'immigration du travail ne résoudra pas la situation du chômage en France. Il y a 10.000 personnes concernées pour 2,5 millions de chômeurs. C'est démagogique", a-t-il lancé. "Si le Medef et les syndicats ont critiqué cette annonce, c'est bien parce que l'immigration légale correspond à une demande", a souligné Yann Wehrling en souhaitant toutefois que ce consensus ne cache pas une autre réalité.
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"Le recours à l'immigration du travail a aussi tendance à maintenir un niveau très bas des salaires dans un certain nombre de secteurs professionnels, ce qui n'est pas défendable", a-t-il encore dit.
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On appelle cela tolérance !

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Jeudi 21 avril 2011 :
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Je n’ai jamais fait de mystère sur ma face « croyante ». Je ne vais certainement pas la cacher alors que nous sommes en plein semaine sainte de Pâques et cela pour les deux religions qui se côtoie actuellement sous mon toit, orthodoxe et catholique.

L’affaire d’Avignon a bien entendu fait débat sous mon toit et, de même, vous dire que j’y ai été insensible serait mentir. J’ai eu du mal cette fois-ci à défendre la « laïcité » de la culture.

Remettons dans le contexte : Ce fameux crucifix trempé dans l'urine, une photo de très grande dimension d’Andres SERANO est exposé comme une œuvre d'art. En est elle une véritablement, je laisse à d’autre le soin d’en débattre, les gouts et les couleurs ne se discutant pas.

Toujours est-il que l’événement a dégénéré puisque la photo a été vandalisée par deux visiteurs après plusieurs jours de sérieuses polémiques.

En fait, cette histoire n'est rien d'autre qu'un concentré d'intolérances. Intolérance de l'artiste d'abord qui estime son travail intouchable même s'il heurte toute une communauté de croyants. Qui plus est, en pleine semaine sainte, une croix plantée dans l'urine peut relever du sacrilège. Intolérance ensuite des intégristes, toujours prompts à transformer en brulot tout ce qui n'est pas dans la ligne la plus conservatrice d'une Eglise aujourd'hui disparue. Intolérance encore des ayatollahs de la culture persuadés que tout est autorisé dés lors que c'est estampillé œuvre d'art. Intolérance enfin de ceux qui s’offusque d’un tel acte et qui voue aux gémonies tout ce qui pourrait ressembler de près ou de loin à une calotte, une kippa ou un foulard.

Au risque de reprendre certains arguments intégristes, voire d’extrême droite, le plus désagréable dans cette histoire piteuse reste certainement l'injustice. Supposons un instant qu’au lieu d’un Christ, ce soit un exemplaire du Coran ou des rouleaux de la Torah. Que n’aurait-on pas dit, que fis-je, hurlé, si d'aventure des musulmans ou des juifs avaient été concernés avec une atteinte à leur dignité religieuse ? Toutes la classe politique bien pensante, tous les intellectuels qui font la une de certains journaux, seraient montés au créneau pour pourfendre des blasphémateurs accusés de racisme, d'antisémitisme ou de provocation anti musulmane.

La religion catholique n'est pas d'Etat puisque notre république est laïque, mais, et c’est une vision que je partage avec Nicolas SARKOZY, pour l'essentiel c'est notre histoire et pour certains, une pratique religieuse très vivante. Si l'Eglise catholique a montré plus d'une fois qu’elle était totalement dépassée sur les débats de société, cela ne saurait justifier que l'on puisse lui marcher sur la tête pendant que l'on pousserait des cris d'orfraie à la moindre plaisanterie anti juive ou à une critique sur certaines pratiques dans l'islam.
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La liberté de création existe et doit être préservée, défendue dans un monde qui a tendance à tout censurer, à tout interdire. Mais on doit pouvoir appliquer cette même liberté à celles et ceux qui mettent du sacré et de la foi dans une religion.
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De part et d'autre cela s'appelle la tolérance.
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Jour après jour, au fil de la politique

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Mercredi 20 avril 2011 :
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La rubrique que vous attendez tous : l’actualité vitrollaise et nationale (politique ou non) au jour le jour. Les coups de cœur comme les coups de gueule, les questions comme les réponses !
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Mercredi 13 avril : Je suis toujours surpris par la manière dont les travaux se déroulent dans nos villes, surtout quand les collectivités locales s’en mêlent.
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Ainsi, il y a moins de trois mois, la rue menant au parking de ma société est l’objet de travaux durant presque trois semaines. En jeux, la rénovation et le changement de certains réseaux (eau et téléphonique visiblement, vus les intervenants) puis durant quatre jours complets, le grand jeu avec le ré goudronnage puis la signalisation. Au final, en un peu moins de vingt jours, une rue flambante neuve.
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Première surprise, le lundi suivant ces travaux, voilà que cette pauvre rue est soudain envahi de nouveaux camions de chantiers. En cause, l’ouverture sur un terrain donnant dans cette rue fraichement rénovée d’un chantier « lourd » pour la construction d’un ensemble de trois immeubles de cinq étages chacun, sans oublier le parking souterrain indispensable. En l’espace d’une matinée, des blocs en béton sont posés pour restreindre la circulation à une voie et le lendemain, le magnifique marquage blanc est remplacé par le marquage jaune réglementaire des travaux.
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Deuxième surprise trois semaines plus tard : le goudronnage, fraichement refait je le rappelle, est soudainement détruit en partie le jour A pour être refait tout aussi soudainement le lendemain, sans que pour autant une explication plausible sur ces travaux puissent être donné par le chef de chantier hormis la sempiternelle réponse : « c’est sur mon planning ».
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En attendant, les « gros culs » transportant terres extraites du chantier des immeubles, toupies amenant le béton, tractopelles et autres engins, continuent à emprunter cette rue nouvellement refaite dont on peut légitimement se poser la question de savoir combien de temps le goudron tiendra le coup à ce rythme et qui a payé les deux chantiers de rénovations coup sur coup.
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Jeudi 14 avril : Passant devant une boutique Orange franchisée, je vois en devanture la nouvelle tablette Samsung. Curieux, je rentre dans le magasin pour l’observer de plus près et, bien évidemment, moins de trois secondes plus tard, me voilà « branché » par un de ces jeunes loups commerciaux qui hantent ces lieux, attirés par l’odeur du premier gogo venu.
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Après quelques considération sur la Samsung Galaxy Tab et sur les forfaits y étant associés, le voilà qui commence à me conseiller une offre « triple play », vantant les mérites de ce type d’offre. Je dois avouer que j’ai eu beaucoup de mal à refréner un sourire moqueur et je commence à lui expliquer que pour la télé et le haut débit, je suis plutôt mal barré, habitant les Pinchinades.
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Après quelques secondes de flottement, voilà mon « jeune loup » qui m’explique le plus sérieusement du monde qu’en effet je suis mal loti mais mieux desservi que les Vignettes et que, dans le cas de figure qui me préoccupe, ce n’est qu’une question de semaines, voire de trois ou quatre mois dans le pire, puisqu’un accord aurait été trouvé entre l’opérateur de fibre optique et Orange et que bientôt je serais celui sur Vitrolles qui aura l’ADSL le plus performant …
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Pourquoi j’ai du mal à le croire !
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Vendredi 15 avril : Les ports français sont enfin en train de naviguer sur une mer calme. La nouvelle convention collective commune des personnels portuaires a fini d'être signée par les organisations syndicales, dont la Fédération nationale des ports et docks (Fnpd), l'Union des ports de France (Upf) et l'Union nationale des industries de la manutention (Unim). Le détachement des personnels grutiers sera effectif le 3 mai.
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A priori, ce qui aurait dû être fait il y a de très nombreuses années et qui a butté sur les positions extrémistes d’un syndicat aveugle, est donc désormais en application. Sauf que beaucoup d’eau a coulé par le détroit de Gilbraltar et qu’il va falloir de nombreuses années pour que les ports français regagnent la confiance du monde économique.
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Si l’on rajoute la versatilité des collectivités territoriales, de l’Etat, qui ne savent pas trop quoi faire de ces mêmes ports (ou quand elles le savent n’ont pas une vision globale des problèmes comme avec 2XL et son manque d’infrastructures d’accès), la vision économique des entreprises et le poids négatif de l’image des ports, le moins quj’on puisse dire, c’est qu’on est pas encore sorti de l’auberge !
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Samedi 16 avril : Moi, le fan de rugby, je rate Toulon / Toulouse au Stade Vélodrome pour … un défilé de mode. Oui, vous avez bien lu !
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En fait, Laetitia termine en beauté sa quinzaine de présence à Grand Vitrolles en présentant certains de ses modèles en une « promenade » au cœur de la galerie commerciale. Elle n’est pas la seule à le faire puisque deux autres créatrices y participent, Françoise DEOUNE dite Penelope et sa collection de costume du XVIIème siècle, et Vanessa POLIDANO, l’inusable créatrice vitrollaise de « Kiss-Die ».
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Comme je suis de parti pris dans cette affaire et donc forcement subjectif, je n’écrirais pas que ses modèles sont les plus beaux même si je le pense !
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Et si mesdames, vous songez à vous (re) marier ou plus simplement porter une robe de créatrice lors d’une de vos soirées, demandez moi ses coordonnés. Je serais fier de vous les donner car elle est vraiment douée.
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Dimanche 17 avril : J’ai tiqué hier sur un article de la Provence parlant des logements prévus dans le cadre du P.L.H. de la C.P.A.
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En effet, on peut lire sous la plume de Carole BARLETTA : « Selon de premières études, la CPA se dirige vers une fourchette de 2200 à 2500 logements à construire d’ici 2017, dont 880 à 938 sociaux (entre 32 et 34%). »
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Allez, pour le plaisir : 880 logements font 40 % de 2200 ! Pour une fourchette entre 32 et 34 %, il faut lire dont 704 à 748 pour 2200 logements et 800 à 850 pour 2500 logements.
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Faut-il acheter une calculatrice à la journaliste ou à Jean-Claude Féraud, maire de Trets et délégué à l’Habitat de la CPA ?
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En tout cas, en annonçant 750 logements sociaux sur le territoire de la C.P.A., notre maire s’est mis dans l’option basse de cette prévision.
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Lundi 18 avril : Inauguration du Tunnel de la Joliette, un mois après son ouverture. C’est comme cela que cela se passe à Marseille.
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Pire, cette inauguration s’est transformée en « Yalta » des affaires. Côte à côte, Jean-Claude GAUDIN, Renaud MUSELIER, Jean-Noël GUERINI, Eugène CASELLI, Michel VAUZELLE mais aussi Sylvie ANDRIEUX, Lisette NARDUCCI, j’en passe et des meilleurs …
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Comme quoi, on peut jouer à Brutus poignardant César le vendredi, envisager sa participation à la série « Lie to me » le samedi, tourner un remake de « Jurassic Park » le dimanche et être membre d’un diner presque parfait le lundi !
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C’est comme cela que cela se passe à Marseille !
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Deux petites questions idiotes :
Comment un politique peut-il être crédible après l’assaut de flagornerie de ce jour ?
Pourquoi l’affaire GUERINI a-t-elle soudain disparu de nos médias, aussi bien locaux que nationaux ?
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Mardi 19 avril : Comme chaque année depuis douze ans, les élèves de Mendès-France ont désigné les œuvres littéraires finalistes de leur prix qui sera décerné durant le mois de mai : « Mon père est femme de ménage » de Saphia AZZEDINE, « Tom petit homme, tout petit homme, Tom » de Barbara CONSTANTINE, et « Le sang des Siciliens » de Maurice GOURIAN.
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Si j’en crois La Provence, le livre de Saphia AZZEDINE a fait l’objet d’un débat houleux entre des élèves venus d’horizons divers mais, pour beaucoup d’entre eux, d’un horizon proche de celui raconté par l’écrivain. Beaucoup lui reprochaient le côté manichéen de son œuvre et l’accusait de raconter une histoire dans une ambiance qu’elle ne connaissait pas.
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J’ai lu ce livre et moi aussi je me suis posé la question de savoir s’il avait été écrit pour TF1 ou si elle racontait une histoire « vécue ».
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J’aurais peut-être la réponse si elle remporte le Prix Mendès-France. J’essayerai alors de la rencontrer pour lui poser la question de vive-voix.
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"L'action de l'Union européenne ne peut se résumer à la rigueur"

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Mardi 19 avril 2011 :
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Le 10 avril dernier la demande d'aide financière effectuée officiellement par le gouvernement portugais à l'Union européenne nous a rappelé que la crise de l'Eurozone était loin d'être terminée. Et que l'indispensable solidarité entre pays européens devait jouer à nouveau après les crises grecque et irlandaise. Cette solidarité est la garantie de la pérennité de la zone euro. Elle est aussi la raison d'être de notre Union européenne.
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Incapable de refinancer sa dette à des taux d’intérêt raisonnables, le Portugal s’est résolu à demander l’aide de ses partenaires européens, sous peine de se trouver rapidement en cessation de paiements avec les conséquences incalculables que l’on peut imaginer, une nouvelle spéculation contre l’euro sur les marchés financiers et le risque de l’éclatement de la zone euro.
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Force est de constater que la gestion de cette nouvelle crise risque d’être particulièrement compliquée. Les besoins du Portugal sont urgents. Mais, en retour de l’aide européenne, il est légitime d’attendre de Lisbonne un plan de rigueur solide et crédible. Or le pays est actuellement dirigé par un gouvernement intérimaire et il sera difficile d’obtenir, tant des sortants socialistes que de leurs challengers conservateurs, des engagements fermes avant les élections anticipées du 5 juin.
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Apparaît par ailleurs au grand jour le défaut majeur du Fonds européen de stabilité financière (FESF), le fonds de sauvetage précisément créé pour ce type de crise. Il faut l’accord unanime des pays contributeurs du Fonds pour que l’aide se déclenche. Or les membres de l’Eurozone ne débloqueront pas les crédits tant qu’ils n’auront pas de certitudes sur la rigueur budgétaire du futur gouvernement lusitanien.
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Pour le Portugal, cela risque donc d’être le serpent qui se mord la queue. Les membres de la zone euro ne débloqueront pas les fonds tant qu’ils n’auront pas de certitudes sur la rigueur budgétaire du futur gouvernement. Et ce dernier ne dévoilera pas son jeu tant qu’il ne sera pas élu.
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Un système reposant sur un Fonds monétaire européen émettant des euro-obligations, serait évidemment d’une toute autre efficacité. Faut-il attendre que d’autres pays soient à leur tour emportés pour qu’enfin les chefs d’Etat et de gouvernement se décident de franchir cette étape pour la gestion de la dette?
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Un mot de plus pour ajouter que l’action de l’Union européenne ne peut se résumer à la rigueur. Non seulement ce n’est pas populaire socialement, mais c’est surtout économiquement contre-productif. Il faut mettre en place une coordination économique, industrielle, budgétaire. De même, il faut développer des politiques communes en matière d’infrastructures, de politique énergétique, de recherche et de développement. C’est cela qui pourra générer demain la croissance et la création d’emplois
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Marielle DE SARNEZ
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Quelques réflexions sur la crise GACHON / GARDIOL

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Lundi 18 avril 2011 :

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Quelques réflexions sur la crise politique qui secoue Vitrolles et le conflit GACHON / GARDIOL, réflexions qui n’engagent que moi d’ailleurs.

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Sur le forum de la Provence, pro et anti GARDIOL se déchirent allégrement. Les arguments les plus nauséeux sont brandis avec une constance et une mauvaise foi qui n’est pas sans rappeler feu la IVème République au moment des changements de cabinet.

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Dans ce bourbier, j’ai évité soigneusement de m’exprimer hormis pour rappeler mes positions :

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La campagne de Philippe GARDIOL précédant le premier tour était certainement la plus élaborée et la plus complète sur notre canton. En se mettant sur la ligne de son parti, qui dénonçait les magouilles supposées au Conseil Général (je mets cette phrase au conditionnel au nom de la présomption d’innocence), Philippe se pliait à une logique politique qui est tout à fait normale et que j’approuve.

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Mon désaccord avec lui commence au soir du second tour.

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Non la manière dont est gérée la fédération socialiste des Bouches-du-Rhône ne me convient pas. Toutefois, n’étant pas socialiste, je ne vais certainement pas conseiller ou prendre parti sur ce sujet brulant, d’autant plus que je n’apprécie que moyennement que l’on se mêle des affaires de mon propre parti. Si j’étais encarté PS, cela aurait une autre histoire mais je suis encarté MoDem.

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Non je n’approuve pas tout ce qui se fait au Conseil Général, loin s’en faut. Toutefois, toutes les « affaires », qui comme par hasard, vous l’avez surement remarqué, ont soudain quitté la une des journaux depuis la fin des élections cantonales, sont sous le coup d’instructions judiciaires. Alors, oui j’ai ma propre idée sur tout ce « pataquès », oui je suis intimement convaincu que tout n’est pas net mais je suis aussi convaincu que TOUS les élus ne sont pas « pourris » et encore plus convaincu que TOUS les élus PS « ne méritent pas la corde » !

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Non Jean-Noël GUERINI n’est pas ma tasse de thé. Je n’approuve pas sa manière de gérer le département et suis globalement en désaccord avec plusieurs points de la politique pratiquée par le Conseil Général . A ce propos, petite précision qui a son importance : le surnom donné à Jean-Noël GUERINI de « Kim Il Sung des Bouches du Rhône » ne vient pas de moi mais de certains caciques du PS 13. Je me suis contenté de le reprendre.

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Donc, pour revenir à Vitrolles et à l’affaire qui nous intéresse, je ne suis pas Philippe GARDIOL sur le terrain sur lequel il s’est engagé au soir du premier tour.

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Dès le moment où EE-Les Verts ne sont plus présents sur un canton, dès le moment où le FN dispute le siège, je suis convaincu que se contenter d'un simple « appel à faire barrage au FN ». Continuer à se placer, à ce moment là, dans une logique de parti qui, à ce moement là, faisait peu de cas de la ville de Vitrolles, ne pouvait être que néfaste. Quant de surcroit les caciques du parti tirent à boulets rouge sur le Président du Conseil Général en laissant penser dans leurs propos que tous les élus du CG sont sur la même douteuse ligne, toutes les conditions sont réunies pour qu’un clash se produise au sein du Conseil Municipal

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Donc, nous savons que clash il y a eu. Philippe GARDIOL voit ses délégations retirées par le maire de Vitrolles, Loïc GACHON. Le deuxième acte aura lieu le 26 mai prochain lors du prochain conseil municipal sans que personne ne puisse augurer de ce qui va se passer.

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Philippe GARDIOL va-t-il rester au conseil pour mieux rebondir comme l’avait fait Jean-Claude DENJEAN en son temps où va-t-il démissionner comme il l’avait laissé entendre ? L’avenir nous le dira.

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La seule chose dont je suis certain, c’est que la grande perdante de toute cette affaire est Vitrolles. Elle perd un adjoint charismatique, compétent et moteur dans son travail. Et ce conseil municipal perd à la fois beaucoup de crédibilité et de compétences.

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Je regrette profondément que Vitrolles se soit rerouvé au centre d’un conflit qui dépasse largement les frontières de notre ville. Enfermés dans des postures de parti, Loïc GACHON et Philippe GARDIOL ont hypothéqué depuis le 20 mars le crédit politique dont tout deux faisait preuve.

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Pourquoi autant s’accrocher à ce faux adage qui est de dire que celui qui n’est pas avec soi est forcement contre soi et qu’il fasse parole de vérité ?

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Triste et inquiétant pour Vitrolles

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L’info du dimanche : Gaz schiste, ressource controversée

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Dimanche 17 avril 2011 :
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La rubrique dominicale de mon blog, « l’info du dimanche », cette information locale, régionale ou nationale glanée dans la presse et qui m’a fait bondir de colère ou de joie durant la semaine.
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Vu la situation actuelle, je pense qu’il est temps de faire un petit rappel sur ce que sont les gaz et pétroles de schistes, leur manière d’être extrait, les risques encourus, aussi bien pour les populations que pour l’environnement ..

Étrangement, le Figaro a publié il y a peu un dossier complet sur ce sujet dans lequel on trouvait réponse à ces questions. Paradoxalement, l’article expliquant les enjeux des gaz de schistes est probablement le plus exhaustif et le plus objectif que j’ai pu lire.
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Même s’il y aurait encore beaucoup de chose à dire, je vous le laisse découvrir …
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Bonne lecture !
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Gaz et pétrole de schiste, des ressources controversées
Par Tristan Vey, Damien HYPOLITE
16/04/2011 | Mise à jour : 11:37
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FOCUS - Le gouvernement réfléchit à interdire leur extraction. Une loi pourrait être votée en mai. Mais que sont ces hydrocarbures ? Comment les exploite-t-on ? Quels sont les risques pour l'environnement ? Lefigaro.fr vous apporte des éclaircissements.
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Pétrole et gaz de schiste : qu'est-ce que c'est ?
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Les hydrocarbures pétrole, charbon, gaz résultent de la transformation de matières organiques dans le sous-sol au fur et à mesure de leur enfouissement sous des couches de sédiments. Sous certaines conditions de température et de pression, les algues et le plancton se transforment en pétrole, les végétaux en charbon. Une augmentation de température peut ensuite conduire à la formation de gaz. Généralement, pétrole et gaz s'échappent des roches-mères argileuses très denses dans lesquelles ils se forment pour migrer vers des roches poreuses situées au-dessus. Les hydrocarbures piégés dans ces roches forment ce qu'on appelle des «réservoirs conventionnels» faciles à exploiter.
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Lorsque les hydrocarbures restent prisonniers de la roche-mère ou de roches très peu poreuses, on parle de ressources non-conventionnelles. Leur formule chimique et leur usage est exactement le même que pour les hydrocarbures conventuionnels. Il en existe plusieurs sortes :
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- pétroles - ou huiles - et gaz de schiste : c'est le nom donné aux hydrocarbures qui restés piégés dans une roche-mère imperméable et qui n'ont donc pas réussi migrer vers un réservoir poreux.
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- schiste bitumineux : ils résultent d'une transformation incomplète de la matière organique car elles n'ont pas été enfouies assez profondément. Les seuls gisements exploitables sont ceux qui affleurent à la surface. Il faut récupérer les roches et les cuire pour que le pétrole puisse terminer sa formation : un procédé cher au rendement thermique désastreux.
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- les « tight gas » : ce sont les gaz contenu dans les réservoirs très peu poreux, souvent d'anciennes « poches » qui ont perdu une partie de leur perméabilité sous l'effet des forces de pression. Certaines couches des réservoirs conventionnels sont classées dans cette catégorie.
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- les gaz de houille : ce sont les gaz que l'on retrouve en grande quantité dans les veines de charbon. Ils sont relativement faciles à extraire.
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Comment extrait-on le gaz et le pétrole de schiste ?
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Pour puiser ces hydrocarbures, il faut d'abord atteindre le schiste. Les gisements exploités sont généralement situés entre 1,5 et 2,5 kilomètres de profondeur. On fore verticalement pour atteindre cette couche géologique puis horizontalement sur quelques centaines de mètres pour mettre en place une sorte de tuyau percé. Les ingénieurs envoient alors de l'eau sous pression mélangée à du sable et des adjuvants pour fracturer la roche et la rendre perméable. Cette phase appelée « hydrofracturation » dure entre quelques heures et quelques jours. On pompe alors une partie de l'eau injectée pour permettre au gaz ou au pétrole de remonter par le conduit. Les grains de sables se mettent dans les fissures pour les empêcher de se reboucher.

Quels sont les risques pour l'environnement ?
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Outre les pollutions inhérentes à toute filière industrielle et/ou gazière, l'exploitation des gaz de schiste soulève quelques risques spécifiques liés à la procédure d'hydrofracturation. Un documentaire à charge, Gasland (visionnable en streaming), traite des ravages environnementaux de cette industrie en Amérique du nord. Les entreprises comme Total soutiennent pour leur part qu'une exploitation raisonnée et respectueuse de l'environnement est possible.
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- Des additifs dangereux pour la santé
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L'eau de fracturation contient différents additifs dont des bactéricides qui permettent d'éviter le bouchage par cimentation des fissures. Parmi les nombreuses molécules ajoutées - une centaines d'après les écologistes, quelques cancérigènes reconnus et difficiles, voire impossibles, à retraiter. Des craintes légitimes sur les risques sanitaires associés sont soulevées.
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- Une possible contamination des nappes phréatiques
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Une mauvaise étanchéité des puits peut conduire à la contamination des nappes phréatiques. Au Québec, 11 des 31 puits forés présentaient des fuites, apprenait-on en février. Au Texas, des riverains ont vu l'eau de leur robinet contaminée par du méthane et certains additifs. D'autre part les schiste piègent métaux lourds et éléments radioactifs. La fracturation peut conduire à leur libération et à leur remontée.
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- Une consommation d'eau importante
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Chaque forage nécessite 10.000 à 20.000 mètres cubes d'eau (4 à 8 piscines olympiques). La configuration des gisements nécessite de faire de nombreux forages. L'emprise au sol peut être limitée en faisant partir 15 à 30 forages d'un même point au sol mais cela ne permet pas de limiter l'eau nécessaire à chaque forage.
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- Un risque sismique imprévisible
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Certains géologues pointent le danger que l'hydrofracturation ne puisse venir par endroit « réveiller » des microfailles sismiques. Les exploitants chercheront systématiquement à éviter les zones à risque mais un accident imprévisible est toujours possible.
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Depuis quand s'intéresse-t-on aux gaz de schiste ?
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La société américaine Halliburton a mené les premières campagnes d'hydrofracturation à la fin des années 40 à titre expérimental. Mais ce n'est qu'au début des années 80 que ces techniques ont commencé à présenter un intérêt économique et stratégique : la conjugaison de l'épuisement des ressources conventionnelles, de l'augmentation des prix des hydrocarbures et des progrès technologiques permettaient d'envisager ce mode de production.
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Aux Etats-Unis, ce sont les «tight gas» qui ont d'abord été exploités. Cela revenait pour les entreprises à utiliser les techniques de fracturation dans les parties les moins rentables des concessions et des puits existants. L'État encourageait ces démarches par une politique fiscale avantageuse. Depuis le début des années 2000, la production des «tight gas» s'est stabilisée.
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Les progrès effectués dans l'hydrofracturation ouvraient toutefois grand les portes de la filière du gaz de schiste, plus difficiles à exploiter.
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Y a-t-il de grandes ressources de gaz et de pétrole de schiste en France ?
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Elles sont très difficiles à évaluer tant que des puits d'explorations n'auront pas été forés. A titre d'exemple, Total estimait que la région de Montélimar pourrait receler 950 milliards de mètres cubes, soit 21 fois la consommation annuelle de gaz en France. Un chiffre impossible à confirmer sans investigation directe de l'aveu même de l'entreprise. Le bassin parisien, le nord et l'est pourraient également receler de grandes ressources de gaz et d'huiles. Un rapport américain évalue à 5000 milliards les ressources probables françaises.
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Pour le moment, ce ne sont toutefois que des spéculations. L'exploration des gisements potentiels a été interrompue en mars sur demande du ministère de l'écologie. Les permis délivrés à certaines entreprises ont été suspendus en février. Le code minier ne faisant pas de différence entre ressources conventionnelles ou non, il règne un certain flou sur les permis délivrés ces dernières années. Les spécialistes ont pourtant observé une recrudescence des demandes dans les années 2000, probablement motivées par la possible découverte d'importants gisements non-conventionnels. Le ministère reconnait avoir délivré auy moins trois permis dans le sud de la France et avoir reçu une dizaine de demandes pour des prospections qui concernent des gaz de schistes.
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Une histoire d’eau …

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Samedi 16 avril 2011 :
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Dans une autre vie, j’ai fait des photos. Pire, je les ai exposées … avec un petit succès d’estime, je dois avouer.
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Aussi, quand on parle photo, j’ai toujours l’oreille qui se dresse et quand des travaux sont exposés, je ne peux résister au plaisir d’aller les voir.
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Sur Vitrolles, le Photo Club de Vitrolles est une institution et ses concours toujours attendus. Vendredi dernier, ont été mis en ligne les travaux de ses membres sur le thème de l’eau, un concours interne à ce photo-club.
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Je n’ai pas pu résister au plaisir de vous faire découvrir ces traveaux.
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Bon visionnage;
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Lien internet de la vidéo :
http://www.youtube.com/watch?v=89jcQUvtbbE
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Envisageons l’impossible comme projet politique

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Vendredi 15 avril 2011 :
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Les cantonales étant désormais derrière nous, tous les partis se tournent désormais vers la mère des batailles, l’élection présidentielle de 2012. Telles les fleurs aux printemps, nous allons voir les projets et les programmes électoraux éclore en vue de l'élection présidentielle.
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Mais une constatation s’impose. Si l’éclosion semble facile, la gestation est elle par contre très longue et très éprouvante. Nul n'imagine la formidable énergie qu'il faut pour changer les choses. Nul n’imagine le temps, la sueur et les difficultés de tous pour batir un projet, aussi simple soit il, aussi « porte ouverte » puisse t’il paraître.
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Et tous cela sans prendre en compte les bouleversements qu’imposent à l’élaboration de ces projets les soubresauts de la planète. Un tremblement de terre et c’est toute la vision du nucléaire qui change. Une révolution dans un pays arabe et c’est toute notre perception du pétrole qui s’écroule. Une tempête centenaire et c’est tout les Plan Locaux d’Urbanisme qu’il faut revoir.
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Plus d'un postulant pour être maire, député ou président de la république s'est englué dans la double peine du poids des habitudes et des éternuements de la planète qui viennent contrarier les plus belles ambitions.
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Combien d’élus, de quelque niveau que ce soit, député à la longévité étonnante ou jeune conseillers municipaux, ont affiché des programmes séduisants et passionnants pour échouer au bout du compte dans de mornes réalisations ?
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Depuis quelques jours, les candidatures se multiplient. J’en profite pour dire que, de manière pragmatique, je soutiens l’idée des primaires, qu’elles soient socialistes, écologistes ou « droitiste ». Un écrémage de toutes ces candidatures ne peut que clarifier les débats électoraux et permettre à la « substantifique moelle d’émerger. Dans cette cacophonie, le dernier à crier est donc Nicolas HULOT.
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La particularité de Nicolas HULOT sur les autres candidats est de posséder la naïve ambition de porter dans une même prétention le rêve et la capacité à modifier le cours de nos jours.
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L’oiseau s’est envolé mais dans combien de temps se brulera t’il les ailes ? En effet, les grandes envolés lyriques et les projets politiques ont la douloureuse particularité de se heurter au mur de la société. Les maires de nos communes sont rarement interpelés et félicités pour la vision de leur ville sur un horizon court de surcroit de l’ordre de dix ou vingt ans. Par contre, ils se voient accuser de tout les meaux, de tous les trous dans les rues, de tous les logements introuvables et de tous les boulots inexistants, sans oublier bien sûr les impôts trop chers.
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La situation est d’autant plus difficile à rectifier quand nous sommes sur des discours politiques de café du commerce, où l’on nous explique sans sourciller que les problèmes de la France sont simples à résoudre : il suffirait de virer tous les étrangers et les français d'origine maghrébine pour retrouver la sérénité et le plein emploi. Dans ce contexte, Nicolas HULOT part de très loin pour adhérer une majorité à la promesse d'un monde dépollué assumant un développement responsable.
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Je suis par contre complètement convaincu que, pour sa bonne santé et son renouvellement, la vie politique a besoin d'être secouée par des passionnés qui croient que l'impossible est pour demain. En cela, cette candidature sera un bienfait et évitera à la campagne de « ronronner » car elle poussera les candidats potentiels sur des sujets brulants sur lesquels ils ne se seraient pas forcement engagés tout seul.
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Enfin, il ne faut surtout pas oublier que l'effondrement de Nicolas Sarkozy trouve son origine dans les insatisfactions quotidiennes et les promesses non tenues. Rien ne justifie cette maltraitance ressentie par un trop grand nombre. Pire, au-delà de notre hyper président, ce sont tous les politiques qui se retrouvent au ban d’une société qui leur reproche à la fois tout et rien.
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Il est temps de penser aux présidentielles 2012. Il est plus que temps d’élaborer des projets. Mais que ces projets soient innovants, réalisables, pour le bien de tous et avec une petite touche d’impossible que nous rendrons tous possibles.
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Il est temps d’y réfléchir
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BORLOO, un faussaire qui s’ignore …

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Jeudi 14 avril 2011 :
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François Bayrou était l'invité de Michel Cardoze, sur Sud Radio, mercredi 13 avril.
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Le président du Mouvement Démocrate a qualifié "les tentatives" de Jean-Louis Borloo de "fausse-monnaie" et défendu pour sa part "l'idée d'un Centre indépendant, qui vise à un véritable changement".
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Pour lui, "les électeurs ne s'y trompent pas : ils attendent des choses absolument certaines et choisissent ce qui est vrai".
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"Il suffit de regarder les années qui viennent de s'écouler, Jean-Louis Borloo était un des piliers du Gouvernement, il en était le numéro 2. Pendant neuf ans, il n'a jamais exprimé une seule réserve sur les décisions incroyables et injustes qui étaient prises, tel le bouclier fiscal, la privatisation des autoroutes, l'affaire Tapie", a poursuivi François Bayrou. "Sa tentative actuelle pose donc une question d'authenticité et de crédibilité".
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"Le courant que je représente, s'il était au pouvoir, n'aurait pas permis ces choses. Pour le futur, nous devons changer la manière dont on gouverne la France, dont on associe les sensibilités diverses, dont on fait qu'au fond chaque Français se retrouvera dans l'estime qu'il porte au pouvoir, dans son honnêteté. Ce ne sera pas un pouvoir qui favorisera les uns au détriment des autres, ce sera un pouvoir qui permettra à la France de traverser les temps difficiles qui nous attendent", a-t-il conclu.
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Jour après jour, au fil de la politique

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Mercredi 13 avril 2011 :
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La rubrique que vous attendez tous : l’actualité vitrollaise et nationale (politique ou non) au jour le jour. Les coups de cœur comme les coups de gueule, les questions comme les réponses !
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Mercredi 6 avril : Pour des raisons personnelles sur lesquelles je ne m"étendrais pas, je me rends à Saint-Cyr aujourd’hui. L’occasion de nouveau de me poser la question sur la responsabilisation des élus concernant les plans d’urbanisme surtout quand il concerne des zones inondables.
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Bon, disons le tout net, je ne suis pas forcement contre le fait de construire en zone inondable. Je considère que l’on doit prendre en compte les réalités locales et les circonstances des dernières inondations. Par contre, je milite pour une adaptation des contraintes des plans d’urbanismes. Par exemple, interdiction de construire des maisons de pleins pieds et obligation de construire avec un étage où les chambres doivent être établies.
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Or, quand je pesse dans un quartier de Saint-Cyr qui, dans sa configuration, ne fait aucun doute sur les risques centenaires d’inondation, je suis chaque fois atterré de constater des maisons de plein pied et des garages, dans le meilleur des cas, des salles de jeu pour enfant dans le pire, construit à cet endroit là.
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Je suis intimement convaincu qu’un peu plus de rigueur sur le PLU lors de son élaboration aurait été nécessaire. Mais on peut toujours rêver
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Jeudi 7 avril : Philipe GARDIOL est destitué de ses délégations par le maire de Vitrolles. Dire que je sois surpris est un bien grand mot. Je me posais la question dès le soir du premier tour de savoir comment les deux hommes allaient pouvoir travailler encore ensemble au vu de la campagne passée. Les positions de EE-Les Verts dans l’entre deux tours ont eu raison à la fois de cette interrogation et de la patience du maire.
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Ceci-dit, au-delà des hommes, le PS se devait de faire un exemple pour rappeler à des alliés éventuels comme EE-Les Verts qu’il existe d’autres échéances. EE-Les Verts se devait par contre de rappeler au PS qu’il y a d’autres moyens de gouverner un Conseil Général.
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Je regrette pour ma part que ces deux rappels se soient déroulés sur le canton de Vitrolles, brisant une relation de confiance vieille de dix ans, et nous privant d’un des éléments les plus charismatiques et les plus compétents dans son domaine de ce conseil municipal.
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Pour terminer sur une touche plus légère, il ne faut pas ignorer aussi le caractère de Philippe, un « sacré » caractère comme on dit chez nous. Mais, bon, on ne l’a pas épousé !
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Vendredi 8 avril : La Provence, par le biais de l’interview de José ANIGO, retrace la genèse des Minots qui ont sauvé l’Olympique de Marseille en 1981. Le « minot » emblématique rappelle tout ce que ces jeunes joueurs ont dù à un désormais oublié de l’OM, le « papa » de ces minots, Loule COSSOU.
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Cette évocation me touche car, par les hasards de la vie et des alliances maritales, on peut dire qu’il fait parti désormais de ma famille. Et ce rappel à la vie d’un homme oublié est une excellente chose.
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Samedi 9 avril : Les faits bruts parlent d’eux-mêmes : Trois voitures de la famille d'Adrien RONDINI, le candidat FN battu au second tour lors des dernières cantonales, ont été brulé samedi matin. Selon la police, l'incendie des véhicules garés près du Lycée Jean Monnet serait bien d'origine criminelle. Le feu s'est propagé à deux autres véhicules situés à côté. C'est le commissariat de Vitrolles qui est chargé de l'enquête.
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Je ne partage pas du tout les idées de la famille RONDINI, vous avez pu vous en rendre compte en lisant ce blog. Rien n’indique à l’heure où j’écris ces lignes que ces destructions soient d’origine politique. Mais rien n’indique le contraire non plus.
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Je suis aussi convaincu que la violence n’a jamais résolu les problèmes, encore moins quand elles sont faites à l’encontre d’un homme politique.
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Il y a beaucoup d’autres moyens de régler les problèmes et celui-ci n’est que la revendication d ‘une forme de lâcheté que je ne peux que combattre.
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Au risque de me répéter, je condamne fermement cette lâche agression même à l’encontre d’un membre du Front National.

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Dimanche 10 avril : Fêtes médiévales durant ce week-end au Vieux-village. Ne pouvant m’y rendre samedi, j’y fais un saut dimanche matin, ce qui me permet de récupérer une partie de mes impôts locaux en participant à l’apéritif initié par la municipalité à l’occasion de cet événement ! Et je me permets trois observations et une suggestion :
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Première observation : une animation très réussie, un vieux village qui soudain redevient centre de vie, des commerçants qui jouent le jeu
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Deuxième observation : malgré une très belle affiche et une communication certaine, j’ai été personnellement plutôt déçu de ne pas voir en ce dimanche matin plus de monde encore. Et j’ai trouvé les terrasses des restaurants pas assez fournis en client. Peut-être, mais c’est mon opinion personnelle, encore plus de publicité à cet événement serait nécessaire.
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Troisième observation : Notre maire a joué le jeu et je l’en félicite. Il n’était pas facile pour lui dans les temps qui nous entourent de jouer au seigneur des lieux. Peut-être que l’année prochaine nous verrons la totalité du conseil municipal déguisée.
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Et enfin la suggestion : il ne fait aucun doute pour tout ceux qui s’intéresse un peu à l’époque médiévale que la religion jouait un rôle certain pour ne pas dire central dans la vie des gueux et des manants. Pourquoi, à moins que cela n’ait été fait samedi soir, ne pas envisager, avec l’appui de la paroisse de Vitrolles, la messe du dimanche matin au Vieux-village au lieu de la Frescoule, et pimenté d’un peu de moyen-âge ?
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Mais je dis cela comme ça !
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Lundi 11 avril : La télé, encore la télé, toujours la télé … Je tombe par hasard sur Canal+ Décalé sur la version courte d’un documentaire dont la version longue est actuellement diffusée en salle. Le sujet : l’exploitation des gaz de schistes aux Etats-Unis et les pollutions diverses et variées qui en découlent. Le nom de ce reportage de Josh Fox : « Gasland ».
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Le premier qui affirme que l’extraction des gaz de schistes par la procédure de la fragmentation hydraulique est sans danger pour l’environnement et surtout les nappes phréatiques n’a qu’à regarder ce documentaire.
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J’ai particulièrement « apprécié » le moment où, approchant un briquet de l’eau coulant d’un robinet de la cuisine, une belle flamme d’un bleu profond est apparue, grillant les moustaches et les poils de l’inconscient.
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Autre grand moment de la vie, le flacon d’un noir profond puisé dans un autre puits fournissant de l’eau classifié de « potable » par les services sanitaires de Pennsylvanie mais que tout officiel digne de ce nom refuse de boire !
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Enfin, que je vous laisse découvrir par vous-même les réponses faites par le directeur de l’une des multinationales pétrolières à la commission d’enquête du Congrès américain concernant la nocivité de ce type de sondage géologique.
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Édifiant !
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Mardi 12 avril : Je reçois à souper ce soir, un très vieil ami à moi très haut et très bien placé au sein de la fédération 13 du Parti Socialiste, un de ceux qui ont les manettes comme on dit. Ces rencontres sont beaucoup trop rares à mon gout vu nos emplois du temps respectifs et le temps qu’il passe dans notre capitale chaque semaine

Notre amitié, remontant à l’époque lycéenne où nous fréquentions les mêmes hauts lieux de distractions su Marseille (en dehors de la même jeune fille, mais cela est une autre histoire), nous permets certaines libertés, comme entre autre nous dire entre deux verres de whysky pris sur la terrasse, certaines vérités et certaines confidences.

Parmi les sujets abordés, DSK et Bayrou bien entendu, mais aussi quelques révélations croustillantes sur le Kim-Il-Sung des Bouches-du-Rhône comme le surnomme désormais la plupart de ceux qui l’approche. Je suis par contre soufflé par la description de l’intérieur qu’il me fait du dernier bureau fédéral de la fédération 13 qui a vu « l’élection » de Jean-David Ciot à la tête de la dite fédération et par certaines remarques concernant la conférence nationale de samedi dernier.

Et dire que certains reprochent au MoDem13 son fonctionnement !
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Réflexions sur la candidature BORLOO …

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Mardi 12 avril 2011 :  

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On peut se poser la question de savoir si la multiplication des candidatures au Centre est une bonne chose ou une mauvaise chose. On peut se poser aussi la question de savoir si cette même multiplication rend le Centre plus crédible ou pas. On peut enfon se poser la question de savoir si’ l’une de ces candidatures est tout simplement crédible. 

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Bien évidemment, je ne disserterais pas sur la candidature de François BAYROU pour les raisons que vous connaissez tous. Je ne vais pas non plus dissertez sur celle de Hervé MORIN, il faut être sérieux parfois ! 

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Reste celle qui me laisse le plus perplexe, celle de Jean-François BORLOO. Quoi que trouvant le personnage sympathique, probablement un fond de «Guignols de l’info » .

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Une indépendance politique peu visible 

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Tout d’abord, rappelons un peu que Jean-François BORLOO a été ministre de Jacques CHIRAC durant cinq ans puis ministre de Nicolas SARKOZY durant quatre ans. Durant ces neuf années, qu’elles ont été les déclarations « fracassantes » et « centristes » de ce chantre du Centre ? 

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Ne cherchez pas, il n’y en a pas ! 

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Durant neuf longues années, il s’est contenté d’approuver sans critiquer, de relayer sans proposer, de rester bien uni à l’UMP sans se démarquer. Pire, en 2007, alors que le Centre pouvait remporter une victoire historique, il appelait à soutenir Nicolas SARKOZY. Et soudain, du jour au lendemain, le voilà tout d’un coup prônant l’indépendance et appelant à battre Nicolas SARKOZY. Intéressante comme posture ! 

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S'affirmer comme un leader centriste, que dis-je, « LE » leader centriste, alors qu'on vient de claquer la porte de l'UMP visiblement suite à ce que je qualifierais de simple incident de carrière, voilà ce que l’on peut appeler « son dernier fait d’arme ». Et ce fait d’arme me rappelle, non sans un amusement certain, la façon dont Hervé MORIN a tenté de « se rebeller » lorsqu’il fut rejeté par celui qui lui avait donné la gamelle durant quatre ans et qu’il annonça lui-aussi sa candidature potentielle. 

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Franchement, est-ce crédible tout cela ? Est-ce cela l’indépendance ? 

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Une indépendance financière inexistante 

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En parlant d’indépendance, comment peut-on être indépendant quand le nerf de la guerre, les financements, sont aux mains de l’UMP ? Pour mémoire, le 8 avril dernier, Le Monde publiait un article sur les finances du Parti Radical Valoisien. Il y dévoilait que ; selon le dernier rapport de la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP), le Parti radical – associé à l'UMP depuis 2002 – reste sous perfusion financière de ce dernier. En 2009, date des derniers comptes publiés, le parti de Jean-Louis Borloo a reçu un million d'euros de l'UMP. Une somme considérable pour ce parti, dont le budget global est de 1,3 million d'euros. Les valoisiens demeurent sous perfusion financière de l'UMP à hauteur de 77 %. 

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Malgré la mise à la porte du gouvernement de Jean-Louis BORLOO, les élus radicaux ont quelques jours après ce psychodrame, renouvelés auprès des autorités compétente leur déclaration d'appartenance à un parti, en l’occurrence l’UMP. En terme plus simple, l’état verse 44 000 euros par parlementaire à l’UMP qui en reverse une partie aux Radicaux de Borloo. Les subsides du Parti radical sont donc toujours, et jusqu'en 2012, année de l'élection présidentielle et des législatives, sous le contrôle du parti présidentiel. 

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Comment parler d’indépendance quand l’Ump détient les clefs du coffre ? 

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Un sondage qui tombe à pic 

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Parlons maintenant ce fabuleux sondage parut dans le Journal du Dimanche qui donne BORLOO devançant d’un point BAYROU pour celui qui représente le mieux le Centre. On croit rêver avant de s’apercevoir des quelques incongruités accompagnant cette enquête de l’IFOP. 

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Ainsi, si l'on considère les électeurs qui ont vraiment voté au centre en 2007, c'est à dire les 19% de Bayrou, eh bien ils sont 53% contre 27% à citer Bayrou en premier au lieu de Borloo. Pour les « gauchistes », 40 % préfère Bayrou contre 33% de Boorloistes. Ceux donnent au final Borloo vainqueurs sont donc les électeurs potentiels de l’UMP et ce déplacement de masse est intéressant pour le président sortant qui trouve là la réserve de voix dont il a besoin au second tour. 

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Faire voter pour Nicolas SARKOZY au deuxième tour 

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Certes, me direz-vous, rien n’indique que Jean-Louis BORLOO va appeler à voter pour Nicolas SARKOZY au second tour. Sauf que nous avons vu précédemment le lien de l’argent et la dépendance du Parti Radical valoisien vis-à-vis de l’UMP. 

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Et tout s’éclaire si l’on prend en compte les déclarations de la « nouvelle amie » de Jean-Louis BORLOO, Rama YADE. Ne pratiquant pas du tout la langue de bois, qualité que j’apprécie, elle a été amenée sur LCI dimanche dernier, a jugé la sortie médiatique de son nouveau mentor sur son « indépendance » vis-à-vis de l’UMP. « L’objectif de Mr Borloo », selon elle, c'est « d'amener l'UMP à revenir aux fondamentaux qui étaient les siens à sa fondation et dont elle s'est éloignée depuis » et, « bien sur », a-t-elle ajouté, « permettre à la majorité actuelle d'être reconduite en 2012 ». 

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Tout est dit sur la candidature BORLOO dans cette déclaration : attirer les voix centristes au premier tour et faire voter SARKOZY au second … Probablement contre le siège de Matignon, que notre ami centriste a raté lors du dernier remaniement, peut-être volontairement, si l’on se met dans la perspective de 2012 et d’un appui des radicaux à l’UMP lors du second tour ! 

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Appel pour un Centre vraiment indépendant 

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Pour ma part, je n’abonde pas dans le sens de cette candidature et fait grief à Jean-Louis BORLOO trois choses : soutenir contre vent et marée Bernard TAPIE, avoir déclaré en 1993 qu’un accord avec le FN ne le dérangeait pas à condition que toute la droite s'y range et avoir approuvé sans aucune restriction depuis 2007 toutes les mesures sarkozystes. . Je milite pour l’existence d’un Centre non verrouillé, non inféodé à un quelconque parti, non prix en otage à l'intérieur d'une alliance quelle qu'elle soit. Je serais amené à rejeter toute combinaison qui viserait à enlever à ma famille politique son indépendance et sa capacité à proposer une alternance. 

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Seul le Centre peut incarner le changement

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Lundi 11 avril 2011 :

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François Bayrou, président du Mouvement Démocrate, a accordé une longue interview au journal Le Figaro, publié le jeudi 7 avril.

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Il y critique le projet du PS et plaide pour "un changement profond à la présidentielle". Selon lui, seul le Centre est en mesure de l'incarner.

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LE FIGARO - Approuvez-vous l'action de la France en Côte d'Ivoire ?

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François BAYROU. - Si la reddition de Gbagbo intervient à temps, l'action de la France aura été décisive. Cette guerre civile, Gbagbo en est responsable. Alassane Ouattara a été patient. La France et les Nations unies l'ont accompagné dans sa patience. Quand il n'y a plus rien eu à tenter, l'intervention internationale a permis de rétablir l'ordre légitime et la légalité. Reste à faire émerger de cet immense gâchis la réconciliation, la paix et la prospérité.

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Dans quel état politique est la France aujourd'hui ?

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FB: Jamais je n'ai ressenti une telle ambiance de décomposition et de division du pays. Cela place les acteurs politiques devant leurs responsabilités.

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Comment y répondre ?

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FB: Rassembler, donner du sens. Mais d'abord, la vie politique doit être assainie. Il faut effacer les soupçons que font peser toutes ces affaires obscures, comme l'affaire Tapie, les financements opaques, les cumuls de toute nature, la manipulation des sondages...

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Que vous inspirent les derniers développements de l'affaire Tapie ?

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FB: Nous n'étions pas nombreux, au début, à dénoncer envers et contre tous une affaire d'État, une spoliation de l'argent public, par centaines de millions d'euros. Aujourd'hui, chaque jour qui passe apporte des preuves supplémentaires. J'ai la conviction que l'un des enjeux de 2012 sera de faire la lumière sur ces affaires, qu'on respire enfin.

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Comprenez-vous la colère qui s'est exprimée dans le vote FN ?

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FB: Quand j'ai écrit Abus de pouvoir, je savais ce que je traduisais. La politique est devenue fausse monnaie. Les mots servent à cacher les choses. Les buts véritables ne sont jamais avoués. La vraie vie est niée - on l'a vu sur le prix du gaz ou de l'électricité - et les valeurs qui font vivre les gens aussi. Les Français enragent d'entendre leurs gouvernants leur décrire un pays qui n'est pas le leur.

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Ne craignez-vous pas un 21 avril bis ou un 21 avril à l'envers ?

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FB: Non. Ce sont les Français qui choisissent les candidats du second tour.

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Face à la montée des extrêmes, le centre a-t-il encore un espace ?

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FB: Plus que jamais. Car le vote extrémiste est non seulement un danger moral pour le pays mais une impasse politique. Le Front national au second tour, c'est la garantie absolue de la victoire pour l'UMP ou le PS. Nous sommes les seuls à pouvoir proposer un changement véritable, un nouvel ordre politique, sans impasse et sans risque.

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Accepteriez-vous de participer à une confédération des centres avec Jean-Louis Borloo, Jean Arthuis ou Hervé Morin ?

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FB: Pour que le centre trouve sa force, il y a trois conditions : reconnaître que le centre est indépendant de la droite et de la gauche, que son projet est différent, et donc sortir de la dépendance politique et financière à l'égard de l'UMP ; revendiquer une vocation majoritaire et donc s'élargir vers des sensibilités nouvelles, accepter le dialogue avec tous les républicains ; tourner la page des divisions et accepter le principe «un candidat et un seul en 2012». Au bout du compte, cela revient à une question : voulez-vous vraiment le changement ou, au fond, souhaitez-vous que le pouvoir en place l'emporte pour cinq ans de plus ?

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Serez-vous candidat en 2012 ?

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FB: Mon action n'a qu'un but : obtenir un changement profond pour le pays qui ne peut se décider qu'à la présidentielle. Pour cela, j'ai refusé toute complaisance, toute proposition, toute compromission avec le pouvoir. Il fallait ces années de lutte et d'intransigeance pour que, le jour venu, les électeurs sachent qu'ils ne seront pas trahis.

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Quelles seront vos priorités ?

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FB: Nous devons donner au pays un projet qui le rassemble. Non pas un projet de parti, mais un projet de pays. Ce projet doit être soutenable dans le temps, ce qui exige les équilibres financiers et budgétaires. Il doit permettre à la France de retrouver la production sur son sol, et donc les emplois qui vont avec. Il proposera un grand contrat éducatif qui est la seule clé pour l'avenir. Il définira des institutions qui permettront de changer pas seulement de pouvoir, mais le pouvoir. Séparation des pouvoirs, loi électorale juste, représentation de tous les courants, par un système à l'allemande par exemple.

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Est-ce à dire que vous acceptez l'élection de députés du FN ?

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FB: Oui, bien sûr. Il est absolument anormal que des forces qui ont atteint ces dernières années 15 à 20 pour cent des suffrages - nous-mêmes, les écolos ou le FN - n'aient pas de représentation à l'Assemblée. Quant au Front national, il vaut mieux le combattre face à face.

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Le projet du PS vous paraît-il s'inscrire dans ce changement que vous appelez ?

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FB: Il y a dans ce texte des idées que j'approuve et défends, notamment sur l'investissement des entreprises ou les institutions. Mais je suis en profond désaccord sur deux points : tous les problèmes du pays sont renvoyés à la dépense publique - allocation pour tous les jeunes, emplois d'avenir, recrutements publics, recours à l'impôt pour de nouvelles dépenses. J'ai l'impression de retrouver le jugement de Frédéric Bastiat : «La grande fiction qui fait que tout le monde s'efforce de vivre aux dépens de tout le monde.» Et ensuite, ce qui manque, c'est la vision d'un pays actif, volontaire, qui préfère que les gens s'en tirent par eux-mêmes, qui choisit de mobiliser ses forces propres : la création, l'innovation, la recherche. L'avenir du pays ne peut pas être l'assistance généralisée.

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Martine Aubry semble favorable à une sortie du nucléaire. Et vous ?

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FB: Ce qui se passe au Japon remet en cause l'idée avec laquelle nous vivions d'un nucléaire sûr. Cela oblige à des épreuves de sécurité immédiate pour les centrales existantes, et à des choix sérieux, de long terme, d'économies d'énergie, de soutien aux énergies de substitution non émettrices de CO2 et d'investissements lourds sur la recherche.

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Silvio Berlusconi a décidé d'accorder des laissez-passer aux clandestins de Lampedusa…

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FB: C'est notre faute. Nous avons été irresponsables de laisser l'Italie toute seule face à un problème de cet ordre, alors qu'il fallait une réponse européenne. Avec cette politique du chacun pour soi, nous voulions laisser l'Italie seule face aux difficultés, maintenant l'Italie .nous envoie ces pauvres gens. C'est nul !

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