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Mardi 13 décembre 2011 :
Mardi 13 décembre 2011 :
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Marielle de Sarnez, députée européenne et vice-présidente du Mouvement Démocrate, était l'invitée du Talk Orange-Le Figaro, vendredi 9 décembre.
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Interrogée sur la déclaration de candidature de François Bayrou, Marielle de Sarnez a témoigné de son "bonheur" et de sa "confiance", tout en rappelant que "la France a besoin d'un choc salutaire". "Nous ne pourrons pas redresser le pays bloc contre bloc. Le PS seul ou l'UMP seule ne le pourront pas. C'est pour cela que nous ferons tout pour être au second tour", a-t-elle souligné.
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L'eurodéputée s'est par ailleurs dite "inquiète" après l'accord conclu à Bruxelles sous l'impulsion de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. "Je ne le condamne pas, mais je crains que cet accord ne rajoute de la confusion à la confusion. Ce qui n'est pas bon pour les marchés", a-t-elle observé. Alors que François Bayrou défend une "Europe communautaire", elle a déploré que jeudi soir la France et l'Allemagne aient "mis fin à l'Union européenne des 27, comme ça, d'un trait de plume". "Combien y a-t-il d'Europe aujourd'hui? On nous parle d'intergouvernemental. Mais où est le contrôle démocratique", s'est-elle inquiétée, avant de dénoncer «un manque total de convergence économique". Pour elle, "l'Allemagne a défendu sa thèse, c'est-à-dire les sanctions. La France aurait dû défendre la sienne, c'est-à-dire la solidarité et un rôle accru de la BCE".
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Marielle de Sarnez, députée européenne et vice-présidente du Mouvement Démocrate, était l'invitée du Talk Orange-Le Figaro, vendredi 9 décembre.
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Interrogée sur la déclaration de candidature de François Bayrou, Marielle de Sarnez a témoigné de son "bonheur" et de sa "confiance", tout en rappelant que "la France a besoin d'un choc salutaire". "Nous ne pourrons pas redresser le pays bloc contre bloc. Le PS seul ou l'UMP seule ne le pourront pas. C'est pour cela que nous ferons tout pour être au second tour", a-t-elle souligné.
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L'eurodéputée s'est par ailleurs dite "inquiète" après l'accord conclu à Bruxelles sous l'impulsion de Nicolas Sarkozy et Angela Merkel. "Je ne le condamne pas, mais je crains que cet accord ne rajoute de la confusion à la confusion. Ce qui n'est pas bon pour les marchés", a-t-elle observé. Alors que François Bayrou défend une "Europe communautaire", elle a déploré que jeudi soir la France et l'Allemagne aient "mis fin à l'Union européenne des 27, comme ça, d'un trait de plume". "Combien y a-t-il d'Europe aujourd'hui? On nous parle d'intergouvernemental. Mais où est le contrôle démocratique", s'est-elle inquiétée, avant de dénoncer «un manque total de convergence économique". Pour elle, "l'Allemagne a défendu sa thèse, c'est-à-dire les sanctions. La France aurait dû défendre la sienne, c'est-à-dire la solidarité et un rôle accru de la BCE".
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