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Mardi 12 octobre 2010 :
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Le Mouvement Démocrate, parti auquel j’appartiens, a décidé de ressembler aux grands partis (ou, tout au moins, au supposé grand parti).
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Pour cela, outre le « shadow cabinet », a été mis en place une conférence de presse donné tous les quinze jours, par le porte-parole du mouvement, Yann Wherling, qui se retrouve ainsi propulsé au même plan que ses « illustres » ainés que sont Frédéric Lefebvre, Dominique Paillié ou Benoit Hamon.
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Pour une fois, j’approuve et applaudie des deux mains l’initiative. Depuis le temps que je me plaignais de cette absence, je ne peux qu’être comblé. Et surtout par le biais de Yann, les positions de notre parti vont enfin être réactives et pas seulement placé dans la bouche de François Bayrou, prouvant ainsi que notre parti n’est pas seulement le parti d’un homme.
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Il a estimé, à la veille d'une nouvelle journée d'action contre le projet de réforme des retraites, que le gouvernement n'est "pas allé jusqu'au bout" de la concertation, mais qu'il pouvait "encore décider d'ouvrir le dialogue" et "d'approfondir le débat", ajoutant que "sans vouloir pratiquer la politique du pire", qu'il pouvait y avoir un risque de radicalisation avec "des lycéens dans la rue".
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"Il n'est pas totalement impossible que les Français acceptent cette réforme", a précisé Yann Wehrling, mais "on est dans une méthode de gouvernance qui ne marche plus et qui doit changer rapidement dans ce pays".
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Le recul de la borne de 60 à 62 ans pour l'âge légal de la retraite est pour le MoDem "une option raisonnable", a-t-il rappelé. S'agissant en revanche d'autres dispositions, notamment l'autre borne pour la retraite à taux plein de 65 à 67 ans, le gouvernement "n'est pas allé jusqu'au bout de la discussion" au parlement, y compris "pour s'inscrire dans une logique d'amendement", a conclu Yann Wehrling.
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Mardi 12 octobre 2010 :
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Le Mouvement Démocrate, parti auquel j’appartiens, a décidé de ressembler aux grands partis (ou, tout au moins, au supposé grand parti).
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Pour cela, outre le « shadow cabinet », a été mis en place une conférence de presse donné tous les quinze jours, par le porte-parole du mouvement, Yann Wherling, qui se retrouve ainsi propulsé au même plan que ses « illustres » ainés que sont Frédéric Lefebvre, Dominique Paillié ou Benoit Hamon.
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Pour une fois, j’approuve et applaudie des deux mains l’initiative. Depuis le temps que je me plaignais de cette absence, je ne peux qu’être comblé. Et surtout par le biais de Yann, les positions de notre parti vont enfin être réactives et pas seulement placé dans la bouche de François Bayrou, prouvant ainsi que notre parti n’est pas seulement le parti d’un homme.
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Il a estimé, à la veille d'une nouvelle journée d'action contre le projet de réforme des retraites, que le gouvernement n'est "pas allé jusqu'au bout" de la concertation, mais qu'il pouvait "encore décider d'ouvrir le dialogue" et "d'approfondir le débat", ajoutant que "sans vouloir pratiquer la politique du pire", qu'il pouvait y avoir un risque de radicalisation avec "des lycéens dans la rue".
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"Il n'est pas totalement impossible que les Français acceptent cette réforme", a précisé Yann Wehrling, mais "on est dans une méthode de gouvernance qui ne marche plus et qui doit changer rapidement dans ce pays".
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Le recul de la borne de 60 à 62 ans pour l'âge légal de la retraite est pour le MoDem "une option raisonnable", a-t-il rappelé. S'agissant en revanche d'autres dispositions, notamment l'autre borne pour la retraite à taux plein de 65 à 67 ans, le gouvernement "n'est pas allé jusqu'au bout de la discussion" au parlement, y compris "pour s'inscrire dans une logique d'amendement", a conclu Yann Wehrling.
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