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Mardi 10 février 2009 :
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Demain se déroule à Paris une réunion des plus importantes pour l’avenir de La Provence. En l’occurrence, nos édiles vont parler du tracé de la future L.G.V.. Bien que peu impacté, Vitrolles est parti prenante de ce processus simplement par son appartenance à la C.P.A. et par son désir louable et compréhensible de solidarité.
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Je vais toutefois me permettre de rappeler à nos élus venus de la C.P.A. et qui vont monter demain à Paris en .. TGV bien sûr, la solidarité dont fait preuve Vitrolles sur ce dossier sensible. A titre personnel, je trouve que cette même solidarité est eu également lieu lorsque les discussions sur les trajectoires aériennes dues aux nuisances sonores étaient engagées.
Puis-je rappeler à ces élus que le dossier des nuisances sonores est du ressort de la C.P.A ; et qu’il aurait été beaucoup plus porteur de les voir sur le terrain d’une manière aussi unie que pour le dossier de la L.G.V..
Et je n’ironiserais donc pas sur le fait de se rendre en TGV à Paris pour protester contre une future ligne TGV et de manifester en allant tout d’abord manger chez Procope, l’une des tables les plus réputées et les plus célèbres de la capitale.
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Drôle d’image véhiculée par ces élus concernant un sujet des plus sensibles et faute grave de casting à mon avis.
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Plus globalement, en ce début de millénaire, je me pose la question de savoir jusqu’où, sous des prétextes aussi valables que l’économie, l’environnement ou le progrès, on peut laisser un cadre de vie évoluer.
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Dans ces deux dossiers emblématiques, il est évident que fermer l’aéroport comme certains vitrollais, très minoritaire heureusement, le réclament est une aberration mais c’est aussi une aberration, sous prétexte que les vitrollais à cet endroit là sont déjà impacté depuis 1997, de laisser la situation perdurer en corrigeant légèrement les trajectoires aéronautiques existantes. C’est enfin une aberration totale de laisser s’envenimer cette situation pour des prétextes mercantiles.
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Pour la L.G.V., je suis personnellement opposé au tracé « Nord » pour des raisons d’environnement, de beauté des sites traversés et pour une raison vraiment égoïste et qui ne concerne que moi : j’adore les petits vins développés dans cette zone au pied de la Sainte Victoire et qui sont gravement menacés par ce tracé. Mais le tracé dit « des Métropoles » ne me convient pas non plus par rapport à son projet proprement dit.
Ce qui m’amène à une double question dont les réponses ne me conviennent pas non plus.
- Gagner trente minutes pour aller de Nice à Paris est-il réellement nécessaire pour le bien être de tous ?
- Si la L.G.V n’est pas construite, que va-t-il se passer économiquement parlant pour notre région ?
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Vaste problème auquel je n’ai pas de solution miracle.
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Mardi 10 février 2009 :
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Demain se déroule à Paris une réunion des plus importantes pour l’avenir de La Provence. En l’occurrence, nos édiles vont parler du tracé de la future L.G.V.. Bien que peu impacté, Vitrolles est parti prenante de ce processus simplement par son appartenance à la C.P.A. et par son désir louable et compréhensible de solidarité.
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Je vais toutefois me permettre de rappeler à nos élus venus de la C.P.A. et qui vont monter demain à Paris en .. TGV bien sûr, la solidarité dont fait preuve Vitrolles sur ce dossier sensible. A titre personnel, je trouve que cette même solidarité est eu également lieu lorsque les discussions sur les trajectoires aériennes dues aux nuisances sonores étaient engagées.
Puis-je rappeler à ces élus que le dossier des nuisances sonores est du ressort de la C.P.A ; et qu’il aurait été beaucoup plus porteur de les voir sur le terrain d’une manière aussi unie que pour le dossier de la L.G.V..
Et je n’ironiserais donc pas sur le fait de se rendre en TGV à Paris pour protester contre une future ligne TGV et de manifester en allant tout d’abord manger chez Procope, l’une des tables les plus réputées et les plus célèbres de la capitale.
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Drôle d’image véhiculée par ces élus concernant un sujet des plus sensibles et faute grave de casting à mon avis.
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Plus globalement, en ce début de millénaire, je me pose la question de savoir jusqu’où, sous des prétextes aussi valables que l’économie, l’environnement ou le progrès, on peut laisser un cadre de vie évoluer.
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Dans ces deux dossiers emblématiques, il est évident que fermer l’aéroport comme certains vitrollais, très minoritaire heureusement, le réclament est une aberration mais c’est aussi une aberration, sous prétexte que les vitrollais à cet endroit là sont déjà impacté depuis 1997, de laisser la situation perdurer en corrigeant légèrement les trajectoires aéronautiques existantes. C’est enfin une aberration totale de laisser s’envenimer cette situation pour des prétextes mercantiles.
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Pour la L.G.V., je suis personnellement opposé au tracé « Nord » pour des raisons d’environnement, de beauté des sites traversés et pour une raison vraiment égoïste et qui ne concerne que moi : j’adore les petits vins développés dans cette zone au pied de la Sainte Victoire et qui sont gravement menacés par ce tracé. Mais le tracé dit « des Métropoles » ne me convient pas non plus par rapport à son projet proprement dit.
Ce qui m’amène à une double question dont les réponses ne me conviennent pas non plus.
- Gagner trente minutes pour aller de Nice à Paris est-il réellement nécessaire pour le bien être de tous ?
- Si la L.G.V n’est pas construite, que va-t-il se passer économiquement parlant pour notre région ?
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Vaste problème auquel je n’ai pas de solution miracle.
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