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Lundi 23 février 2009 :
« Notre » préfet, ce si emblématique (et contesté) Michel Sappin a encore frappé. Il a déposé ses « recommandations » concernant le redécoupage électoral des Bouches du Rhône. Si notre département ne perd pas de siège, il n’en gagne pas non plus mais Marseille passe de huit à sept et Aix et sa périphérie de deux à trois. Par souci de rééquilibrage démographique disent les experts … On peut légitimement se poser la question en voyant les préconisations !
Lundi 23 février 2009 :
« Notre » préfet, ce si emblématique (et contesté) Michel Sappin a encore frappé. Il a déposé ses « recommandations » concernant le redécoupage électoral des Bouches du Rhône. Si notre département ne perd pas de siège, il n’en gagne pas non plus mais Marseille passe de huit à sept et Aix et sa périphérie de deux à trois. Par souci de rééquilibrage démographique disent les experts … On peut légitimement se poser la question en voyant les préconisations !
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A l’arrivée, sur un plan strictement politique, Marseille perd une circonscription de droite qui risquait d’être très contestée lors des prochaines contre une nouvelle circonscription que la droite n’aura pas trop de mal à conquérir.
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Bilan à l’équilibre comme on le dit !
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Quant à l’ancienne circonscription de Roatta, en la redécoupant suivant les arrondissements du 1er et du 2ème et en y adjoignant le 3ème arrondissement, (Donc en fait là où la gauche est chez elle, quasi indéboulonnable), le maire de secteur socialiste Patrick Mennucci n’aura pas trop de mal non plus à s’y implanter durablement.
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Et comme par hasard, au moment même où le préfet fait ces recommandations, le fidèle valet de Ségolène Royal durant la campagne présidentielle, Patrick Mennucci, décline une invitation pour être présent en place éligible sur la liste européenne du PS pour le Grand Sud
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Pas fou, il préfère bétonner sa mairie, poser ses marques pour des législatives gagnées d’avance s’il n’y a pas d’anicroche d’ici là, et surtout rester à l'affût pour la succession de Jean-Claude Gaudin. Succession qui ne va pas être triste quand on sait aussi que Jean Noel Guérini, le puissant président « royaliste » du Conseil Général, n’a nullement l’intention de lui laisser la place de challenger officiel du maire de Marseille.
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Grâce à ce découpage préconisé par Michel Sappin, taillé sur mesure pour Patrick Mennucci, voilà le P.S. marseillais qui se prépare à de rudes échéances pour les prochaines élections municipales, combats de titans qui pourrait profiter aux poids légers de la droite marseillaise comme Guy Tessier par exemple.
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Non, il n y a pas à dire, note « cher » préfet Michel Sappin a fait un sacré bon boulot avec ses « préconisations » dont on voit mal ce qui empêcherait de les suivre tant elles paraissent politiquement évidentes !
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A l’arrivée, sur un plan strictement politique, Marseille perd une circonscription de droite qui risquait d’être très contestée lors des prochaines contre une nouvelle circonscription que la droite n’aura pas trop de mal à conquérir.
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Bilan à l’équilibre comme on le dit !
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Quant à l’ancienne circonscription de Roatta, en la redécoupant suivant les arrondissements du 1er et du 2ème et en y adjoignant le 3ème arrondissement, (Donc en fait là où la gauche est chez elle, quasi indéboulonnable), le maire de secteur socialiste Patrick Mennucci n’aura pas trop de mal non plus à s’y implanter durablement.
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Et comme par hasard, au moment même où le préfet fait ces recommandations, le fidèle valet de Ségolène Royal durant la campagne présidentielle, Patrick Mennucci, décline une invitation pour être présent en place éligible sur la liste européenne du PS pour le Grand Sud
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Pas fou, il préfère bétonner sa mairie, poser ses marques pour des législatives gagnées d’avance s’il n’y a pas d’anicroche d’ici là, et surtout rester à l'affût pour la succession de Jean-Claude Gaudin. Succession qui ne va pas être triste quand on sait aussi que Jean Noel Guérini, le puissant président « royaliste » du Conseil Général, n’a nullement l’intention de lui laisser la place de challenger officiel du maire de Marseille.
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Grâce à ce découpage préconisé par Michel Sappin, taillé sur mesure pour Patrick Mennucci, voilà le P.S. marseillais qui se prépare à de rudes échéances pour les prochaines élections municipales, combats de titans qui pourrait profiter aux poids légers de la droite marseillaise comme Guy Tessier par exemple.
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Non, il n y a pas à dire, note « cher » préfet Michel Sappin a fait un sacré bon boulot avec ses « préconisations » dont on voit mal ce qui empêcherait de les suivre tant elles paraissent politiquement évidentes !
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