Jour après jour, au fil de la politique

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Mercredi 10 juin 2009 :
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La rubrique que vous attendez tous : l’actualité vitrollaise au jour le jour.

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Mercredi 3 juin : Je passe dans le fameux centre commercial dont je parlais dans mes brèves la semaine dernière. Par curiosité, je fais le détour par le rayon des « Granola », juste pour voir. La promotion est toujours là mais l’étiquette générale est rectifié au bon prix : 4.64 euros au lieu des faux 4.99 euros de la semaine dernière.
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Je me dis qu’ils sont encore 8 centimes trop cher jusqu’à ce que je me rende compte que le prix unitaire du paquet est passe de 1.14 euros à 1.22 euros, rendant par ce subterfuge la promotion enfin intéressante.
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Bon d’accord, moyennant 7.01 % d’augmentation du prix unitaire !
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Quelle bande de ruffian ces grandes surfaces !

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Jeudi 4 juin : Loïc Gachon élu Premier Adjoint de Vitrolles … Pour une surprise, c’est une surprise !
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Un de ces jeunes loups aux dents longues ou bien un « béni oui oui » dont le rôle sera uniquement d’avaliser les décisions de notre cher Marie, Guy Obino ?
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L’avenir nous le dira mais, pour l’instant, je ne peux cacher mon inquiétude concernant cette ville que j’aime.

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Vendredi 5 juin : La fête des quartiers des bords de l’Etang annulée faute de combattants ou plus exactement faute de communication de la part de la Mairie. Un seul petit pavé sur le site internet de la Mairie, avec des informations erronées, pas de tracts, pas d’affichages …
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Cela me rappelle étrangement le couac avec les musiciens la semaine dernière à Croze …
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Quant à la communication de la ville de Vitrolles ….

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Samedi 6 juin : Journée du samedi qui vire en cauchemar pour des raisons personnelles avant de se terminer en totale déception lors de la défaite des « jaunards » pour la onzième fois de leur histoire dans la conquête du trop fameux graal qu’est le « Bouclier de Brennus ».
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Ce que je ne savais pas encore, c’est que le cauchemar allait continuer le lendemain et que les résultats des élections européennes n’auraient aucune mesure avec nos attentes.
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En terme clair, un triste samedi au sein d’un week-end cataclysmique

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Dimanche 7 juin : Jour d’élection et tournée des bureaux de votes. Je ne ferais dans ce post quasiment aucun commentaire sur la soirée des résultats hormis que la pizza et le chianti était excellent !
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Je dirais plus simplement (sans aucune modestie !) que Vitrolles s’est hissé dans le top 3 des meilleurs résultats de notre parti dans les Bouches-du-Rhône et que le travail de terrain paye finalement un peu.

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Lundi 8 juin : Appel d’une « vielle socialiste vitrollaise » (c’est du moins comme cela qu’elle se présente) que je ne connais pas, vraiment pas contente du tout. Elle a lu l’article dans la « Tribune du sud » d’hier reprenant un extrait de mon blog et agrémenté d’une boutade du journaliste sur Jean-Claude Denjean. Problème, cette brave (et vielle !) socialiste a pris au pied de la lettre cette même boutade.
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Et de me téléphoner pour me dire sa colère de voir le MoDem tenter de récupérer l’ancien adjoint au Maire ! Heureusement, cette brave socialiste possédant internet, je lui ai donné l’URL de l’article de mon blog pour qu’elle puisse lire l’intégralité du post incriminé et voir ce que je pense réellement de toute cette affaire
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J’attends toujours qu’elle me rappelle pour s’excuser !

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Mardi 9 juin : Tous les personnels municipaux ayant à faire de près ou de loin à l’enfance en grève aujourd’hui. Une intersyndicale (de la CGT à Sud en passant par FO, CFDT etc.) soudée contre une réforme annoncée par la municipalité (socialo-communiste je le rappelle) Voilà qui est surprenant au premier abord mais en fait logique quand on y réfléchit bien.
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Histoire de ne pas changer une méthode qui ne marche pas, la municipalité a décidé de réformer le secteur « enfance » sans concertation et sans aucune communication.
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Depuis le temps, nous en avons l’habitude. Le manque de communication de cette municipalité est l’un de ses défauts chroniques. J’espérais simplement que sur un sujet aussi important que l’avenir de nos enfants, elle aurait mis ses vieux démons à l’encan pour enfin réformer un secteur qui, il faut bien l’avouer, en a besoin.
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Une réforme de cette ampleur sans concertation ni communication est une grave faute politique. .
Mais cette municipalité nous y a habituée depuis le temps
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