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Vendredi 26 juin 2009 :
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Avant de commencer à parler du conseil municipal d’hier au soir, commençons par distribuer les satisfécits.
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Le premier à l’adjoint au Développement Durable pour engager la ville dans « l’agenda 21 » avec un calendrier précis digne de notre XXIème siècle ! A ce propos, n’en déplaise à l’opposition qui a tenté un court instant de faire croire que les préoccupations écologiques n’étaient présentes que dans leur seul programme, toutes les listes candidates aux dernières municipales avaient intégrés cette problématique dans leur « projet de ville ».
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Le second satisfécit à Malik Mersali qui, en présentant les comptes de la ville, n’a pas utilisé de diaporama pour illustrer ses propos. A part l’aridité des chiffres, son exposé fut du coup beaucoup plus clair ! On se rappelle que le dernier diaporama qu’il a utilisé a été, c’est le moins qu’on puisse dire, une « erreur fatale » pour ses comptes et a alimenté une polémique non prévue sur le rôle de la presse à Vitrolles.
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Maintenant, passons aux choses sérieuses ! Donc, hier au soir, de nouveau le conseil municipal et comme d’habitude, de nouveau l’éternelle représentation théâtrale où majorité et opposition ont fait leur show.
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Mais pour une fois, le spectacle en valait la peine car il a démontré combien cette municipalité ne pilote pas de la manière sure et confiante dont elle est sensée le faire la ville de Vitrolles après le renouvellement haut la main de son précédent mandat.
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Nous avons donc pu constater le délitement qui, au fil des mois, est en train de saisir une majorité qui ne sait plus trop ce qu’elle fait entre lutte d’ego et cafouillage en tout genre.
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Reprenons donc simplement les faits s’étant déroulés durant ce conseil municipal digne de « Fringe ».
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Nous avons donc eu droit à la « lettre qui tue » à en tête de la municipalité de Vitrolles brandit par un Christian Borelli en pleine forme, dans laquelle la deuxième adjointe de la ville écrivait en date du 29 avril 2009, donc deux mois avant la délibération de ce soir : « Nous avons donc voté une subvention de quatre mille euros ». Sauf que le débat et le vote de la dite subvention s’est déroulé hier au soir ! A quoi sert donc cette délibération si on annonce deux mois avant le versement de la dite subvention qu’elle a été déjà voté ? Et que dire d’une municipalité qui fait une telle boulette et se réfugie derrière l’excuse si facile du « lapsus »?
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Mais autre point plus important qui lui est passible du vice de forme : lors du vote concernant les comptes administratifs, le maire de Vitrolles, Guy Obino, est resté présent. Certes son état de santé peut expliquer le fait qu’il ne soit point sorti mais, en restant présent, il a pu « influer sur le déroulement serein et impartial du vote ». Par un simple regard à un conseiller trop hésitant, notre maire a pu mettre la pression et troubler ainsi « la sérénité du scrutin »
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Sauf erreur ou omission de ma part, plusieurs jurisprudences ont été faites sur ce point et il est o combien intéressant de voir le nombre de PV de séance accessible en libre consultation sur internet où il est écrit noir sur blanc lors des déroulements des scrutins sur les comptes administratifs : « le maire se retire de la salle durant la durée du vote. »
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Alors le vice de forme guette t’il l’approbation de nos comptes administratif ? Un comble !
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Enfin, quand on pense que lors des dernières municipales, la majorité actuelle nous a traité de menteur quand nous avons dénoncé l’existence au sein de cette mairie de postes aux contours flous, comment interpréter l’arrivée d’un nouveau directeur des services financiers quand cet arrivée succède à celle d’un nouveau directeur général des services, d’un nouveau directeur à la communication, du limogeage d’un premier adjoint et enfin du constat des « bourdes » énumérées ci-dessus ?
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Sans parler de la valse en deux temps de Marcel Liccia qui, visiblement contre l’avis du maire, s’est porté candidat à la succession de Loic Gachon comme élu des quartiers sud, se retrouvant ainsi en concurrence avec Marie Claude Michel. Heureusement pour cette municipalité, il a retiré sa candidature, après avoir été « réprimandé » par le maire : « Il n’avait pas compris ! » expliqua le maire. Piètre excuse mais comme on a pu le voir, on commence à en avoir l’habitude. Je suppose que Jean-Claude Denjean « n’avait pas compris » non plus en votant contre le PV du conseil extraordinaire entérinant son limogeage !
Et pour terminer, comme cela en passant : vu le long plaidoyer de Guy Obino à destination des collectivités locales travaillant au côté de Vitrolles, de sa déclaration d’amour envers la CPA qui ne nous oublie pas et avec qui nous travaillons en bonne intelligence, je pense que le candidat socialiste Alexandre Medvedowsky a très peu à attendre du maire de Vitrolles (qui se targue pourtant d’appartenir au Groupe des élus socialistes à défaut d’appartenir au PS) !
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Vendredi 26 juin 2009 :
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Avant de commencer à parler du conseil municipal d’hier au soir, commençons par distribuer les satisfécits.
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Le premier à l’adjoint au Développement Durable pour engager la ville dans « l’agenda 21 » avec un calendrier précis digne de notre XXIème siècle ! A ce propos, n’en déplaise à l’opposition qui a tenté un court instant de faire croire que les préoccupations écologiques n’étaient présentes que dans leur seul programme, toutes les listes candidates aux dernières municipales avaient intégrés cette problématique dans leur « projet de ville ».
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Le second satisfécit à Malik Mersali qui, en présentant les comptes de la ville, n’a pas utilisé de diaporama pour illustrer ses propos. A part l’aridité des chiffres, son exposé fut du coup beaucoup plus clair ! On se rappelle que le dernier diaporama qu’il a utilisé a été, c’est le moins qu’on puisse dire, une « erreur fatale » pour ses comptes et a alimenté une polémique non prévue sur le rôle de la presse à Vitrolles.
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Maintenant, passons aux choses sérieuses ! Donc, hier au soir, de nouveau le conseil municipal et comme d’habitude, de nouveau l’éternelle représentation théâtrale où majorité et opposition ont fait leur show.
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Mais pour une fois, le spectacle en valait la peine car il a démontré combien cette municipalité ne pilote pas de la manière sure et confiante dont elle est sensée le faire la ville de Vitrolles après le renouvellement haut la main de son précédent mandat.
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Nous avons donc pu constater le délitement qui, au fil des mois, est en train de saisir une majorité qui ne sait plus trop ce qu’elle fait entre lutte d’ego et cafouillage en tout genre.
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Reprenons donc simplement les faits s’étant déroulés durant ce conseil municipal digne de « Fringe ».
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Nous avons donc eu droit à la « lettre qui tue » à en tête de la municipalité de Vitrolles brandit par un Christian Borelli en pleine forme, dans laquelle la deuxième adjointe de la ville écrivait en date du 29 avril 2009, donc deux mois avant la délibération de ce soir : « Nous avons donc voté une subvention de quatre mille euros ». Sauf que le débat et le vote de la dite subvention s’est déroulé hier au soir ! A quoi sert donc cette délibération si on annonce deux mois avant le versement de la dite subvention qu’elle a été déjà voté ? Et que dire d’une municipalité qui fait une telle boulette et se réfugie derrière l’excuse si facile du « lapsus »?
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Mais autre point plus important qui lui est passible du vice de forme : lors du vote concernant les comptes administratifs, le maire de Vitrolles, Guy Obino, est resté présent. Certes son état de santé peut expliquer le fait qu’il ne soit point sorti mais, en restant présent, il a pu « influer sur le déroulement serein et impartial du vote ». Par un simple regard à un conseiller trop hésitant, notre maire a pu mettre la pression et troubler ainsi « la sérénité du scrutin »
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Sauf erreur ou omission de ma part, plusieurs jurisprudences ont été faites sur ce point et il est o combien intéressant de voir le nombre de PV de séance accessible en libre consultation sur internet où il est écrit noir sur blanc lors des déroulements des scrutins sur les comptes administratifs : « le maire se retire de la salle durant la durée du vote. »
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Alors le vice de forme guette t’il l’approbation de nos comptes administratif ? Un comble !
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Enfin, quand on pense que lors des dernières municipales, la majorité actuelle nous a traité de menteur quand nous avons dénoncé l’existence au sein de cette mairie de postes aux contours flous, comment interpréter l’arrivée d’un nouveau directeur des services financiers quand cet arrivée succède à celle d’un nouveau directeur général des services, d’un nouveau directeur à la communication, du limogeage d’un premier adjoint et enfin du constat des « bourdes » énumérées ci-dessus ?
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Sans parler de la valse en deux temps de Marcel Liccia qui, visiblement contre l’avis du maire, s’est porté candidat à la succession de Loic Gachon comme élu des quartiers sud, se retrouvant ainsi en concurrence avec Marie Claude Michel. Heureusement pour cette municipalité, il a retiré sa candidature, après avoir été « réprimandé » par le maire : « Il n’avait pas compris ! » expliqua le maire. Piètre excuse mais comme on a pu le voir, on commence à en avoir l’habitude. Je suppose que Jean-Claude Denjean « n’avait pas compris » non plus en votant contre le PV du conseil extraordinaire entérinant son limogeage !
Et pour terminer, comme cela en passant : vu le long plaidoyer de Guy Obino à destination des collectivités locales travaillant au côté de Vitrolles, de sa déclaration d’amour envers la CPA qui ne nous oublie pas et avec qui nous travaillons en bonne intelligence, je pense que le candidat socialiste Alexandre Medvedowsky a très peu à attendre du maire de Vitrolles (qui se targue pourtant d’appartenir au Groupe des élus socialistes à défaut d’appartenir au PS) !
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1 commentaire:
et tu es parti avant les questions orales au cours desquelles le maire a une nouvelle fois botté en touche et été à la limite de sa mauvaise fois habituelle au sujet de la mission qu'il a imposée au conseil des sages, jouant sur les mots ... je me demande si on doit encore poser des questions orales puisque le reglement imposé ne permet de revenir sur les commentaires du maire QU'une seule fois, lui laisant tout loisir de persifler. La municipalité a été en dessous de tout hier soir en imposant à Mme Aleman de poser sa question alors que le DGS, en raison de l'heure tardive, avait "négocié" la réponse écrite de HM Porte ... on était vraiment dans le n'importe quoi ! le maire semble être au bout du rouleau ...
Bernard alias Rocambole
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