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Samedi 7 mai 2011 :
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François Bayrou était l'invité de Guillaume Durand dans l'émission Face aux Français, diffusée sur France 2, mercredi 20 avril.
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Le président du Mouvement Démocrate, invité aux côtés de Serge July, est notamment revenu sur sa jeunesse et son parcours politique.
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"Le projet qui est le mien ne s'accommode pas avec la bipolarisation", a-t-il souligné avant de défendre "le Centre comme seule vraie voie pour changer le système".
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"Le second tour de la présidentielle fait que le vote aux extrêmes ne fait au final que renforcer la bipolarisation", a poursuivi François Bayrou.
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"Je ferai tout ce que je peux pour qu'on sorte de ce simplisme qui nous fait du mal. Je plaide pour un autre système, où les gens qui ont les même valeurs travaillent ensemble", a-t-il souligné.
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A propos de la fonction présidentielle, le député des Pyrénées-Atlantiques a estimé que "dans un pays républicain normal, tout ne se décide pas dans le bureau du président. Le président de la République doit être le président de ceux qui n'ont personne pour les défendre, des petits gens et non pas des puissants".
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"Nicolas Sarkozy est le symptôme et non la cause d'un glissement de la société française. Il faut quitter la culture de la haine réciproque pour rentrer dans la culture du pluralisme", a-t-il conclu.
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Lien internet de la vidéo :
http://dai.ly/dP3Ud2
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Samedi 7 mai 2011 :
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François Bayrou était l'invité de Guillaume Durand dans l'émission Face aux Français, diffusée sur France 2, mercredi 20 avril.
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Le président du Mouvement Démocrate, invité aux côtés de Serge July, est notamment revenu sur sa jeunesse et son parcours politique.
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"Le projet qui est le mien ne s'accommode pas avec la bipolarisation", a-t-il souligné avant de défendre "le Centre comme seule vraie voie pour changer le système".
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"Le second tour de la présidentielle fait que le vote aux extrêmes ne fait au final que renforcer la bipolarisation", a poursuivi François Bayrou.
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"Je ferai tout ce que je peux pour qu'on sorte de ce simplisme qui nous fait du mal. Je plaide pour un autre système, où les gens qui ont les même valeurs travaillent ensemble", a-t-il souligné.
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A propos de la fonction présidentielle, le député des Pyrénées-Atlantiques a estimé que "dans un pays républicain normal, tout ne se décide pas dans le bureau du président. Le président de la République doit être le président de ceux qui n'ont personne pour les défendre, des petits gens et non pas des puissants".
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"Nicolas Sarkozy est le symptôme et non la cause d'un glissement de la société française. Il faut quitter la culture de la haine réciproque pour rentrer dans la culture du pluralisme", a-t-il conclu.
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Lien internet de la vidéo :
http://dai.ly/dP3Ud2
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