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Mardi 16 février 2010 :
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On vit une époque formidable. Voilà que les citoyens sont en train de constater avec effroi qu’il fait froid en hiver et chaud en été. Pire, je ne sais si vous vous rendez-compte, mais il y a de la neige en plein hiver … Quel scandale d’autant plus qu’il parait que l'hiver n'en finit pas, que nous sommes déprimés et que sur cette planète réchauffée au gaz carbonique, la boussole de la météo cherche désespérément un sens à tout cela.
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Au même moment, le GIEC se prend les pieds dans le tapis avec une erreur de débutant et un scandale dont il se serait bien passé tandis qu’un géophysicien, qui croise des mammouths dans les ministères, se prend pour « LE » gourou de la climatologie.
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Vraiment, on vit une époque formidable !
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Quelques soient le temps qui court, les constations climatiques actuelles ne rendent pas caduques les prévisions inquiétantes des spécialistes qui auscultent les thermomètres et les baromètres. C’est sur le long terme que l’on pourra se faire une idée réelle et voir qui avaient raisons.
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Il y a quelques temps, j’avais écrit déjà un article concernant le climat. Ma position n’a pas changé d’un iota. Je ne vais ni jeter la pierre sur les climato-alarmistes ni sur les climato-pessimistes, ni entrer dans le débat technique de savoir qui a raison scientifiquement parlant.
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Je me place sur un autre terrain : si jouer les climato-alarmistes permet à notre société de prendre conscience de la fragilité de notre planète, des risques patents d’une industrialisation et d’un urbanisme à outrance, si cela permet à notre société de « ralentir » le rythme effréné de notre développement, de revenir vers des valeurs plus humanistes de notre société, alors je serais ans hésiter climato-alarmiste.
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Car, au-delà du réchauffement climatique, c’est aussi une qualité de vie qui est en jeu, une qualité de société, un mode de vie qui pourrait enfin prendre de manière plus équilibré, plus humaine, plus équitable, nos aspirations et nos ambitions de vie. Vous l’aurez compris, dans mon esprit, notre société est à un tournant qui demande réflexion et qui ne peut se concevoir qu’en prenant en compte les contraintes environnementales.
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A ce niveau là de “prédiction”, la seule chose que je peux dire c’est qu’il continura à faire chaud en été et froid en hiver !
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Mardi 16 février 2010 :
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On vit une époque formidable. Voilà que les citoyens sont en train de constater avec effroi qu’il fait froid en hiver et chaud en été. Pire, je ne sais si vous vous rendez-compte, mais il y a de la neige en plein hiver … Quel scandale d’autant plus qu’il parait que l'hiver n'en finit pas, que nous sommes déprimés et que sur cette planète réchauffée au gaz carbonique, la boussole de la météo cherche désespérément un sens à tout cela.
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Au même moment, le GIEC se prend les pieds dans le tapis avec une erreur de débutant et un scandale dont il se serait bien passé tandis qu’un géophysicien, qui croise des mammouths dans les ministères, se prend pour « LE » gourou de la climatologie.
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Vraiment, on vit une époque formidable !
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Quelques soient le temps qui court, les constations climatiques actuelles ne rendent pas caduques les prévisions inquiétantes des spécialistes qui auscultent les thermomètres et les baromètres. C’est sur le long terme que l’on pourra se faire une idée réelle et voir qui avaient raisons.
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Il y a quelques temps, j’avais écrit déjà un article concernant le climat. Ma position n’a pas changé d’un iota. Je ne vais ni jeter la pierre sur les climato-alarmistes ni sur les climato-pessimistes, ni entrer dans le débat technique de savoir qui a raison scientifiquement parlant.
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Je me place sur un autre terrain : si jouer les climato-alarmistes permet à notre société de prendre conscience de la fragilité de notre planète, des risques patents d’une industrialisation et d’un urbanisme à outrance, si cela permet à notre société de « ralentir » le rythme effréné de notre développement, de revenir vers des valeurs plus humanistes de notre société, alors je serais ans hésiter climato-alarmiste.
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Car, au-delà du réchauffement climatique, c’est aussi une qualité de vie qui est en jeu, une qualité de société, un mode de vie qui pourrait enfin prendre de manière plus équilibré, plus humaine, plus équitable, nos aspirations et nos ambitions de vie. Vous l’aurez compris, dans mon esprit, notre société est à un tournant qui demande réflexion et qui ne peut se concevoir qu’en prenant en compte les contraintes environnementales.
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A ce niveau là de “prédiction”, la seule chose que je peux dire c’est qu’il continura à faire chaud en été et froid en hiver !
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