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Mardi 4 mai 2010 :
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Alors que nous étions en droit d’espérer enfin de fermes prises de position sur notre environnement, des avancées notables dans la sauvegarde de la nature en vertu des discussions dites « de Grenelle », voilà que ce qui va être débattu à l’Assemblée nationale dans les jours qui viennent est non seulement un ersatz de nos attentes mais en plus une reculade face aux plus petits des objectifs.
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Exit la Taxe Carbone. Je regrette son abandon. Je l’ai déjà expliqué dans d’autres papiers.
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Expérimental, l’étiquetage du Carbone
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Limiter l’usage des éoliennes !
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Sur ce sujet, je mets tout de suite les choses au point : je ne suis pas un fanatique du développement des éoliennes. Ma réticence à l’installation de ces installations provient plutôt du côté, comment dirais-je, peu esthétique à mon gout. Il faut voir les quelques éoliennes installées sur les hauts plateaux du Mézenc pour s’en convaincre.
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Toutefois, je reconnais qu’en tant qu’énergie de remplacement, ce type d’infrastructure est nettement préférable à d’autres que certains lobby tentent de défendre !
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Par une multitude d’amendement sensée rendre l’industrie éolienne acceptable, l'ensemble des restrictions du rapport Ollier présentée à l’Assemblée nationale conduira à rendre quasiment impossible l’implantation de toute nouvelle installation, la création de parcs éoliens.
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Couper les ailes des éoliennes ! Triste et lamentable ironie.
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A qui profite le crime ? Telle est la question que l’on pourrait se poser. Et la réponse est tellement évidente : C'est l'intérêt bien compris des groupes de pression des énergies fissile et fossile qui est derrière un tel revirement.
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Au moment de la catastrophe écologique du Golfe du Mexique, tout cela est il bien raisonnable ?
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Après plus de deux années de débat, le Grenelle tel qu’il est désormais ignorera de limiter la construction d’autoroutes et d’aéroports, laissera la surconsommation d’engrais perdurer, oubliera l’impact des poids-lourds sur l’environnement et favorisera l’étranglement méthodique des énergies de substitution.
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Notre avenir est tout rose : la dynamique du Grenelle est enterrée, l’environnement est en danger et les « vieilles » énergies ont de l’avenir devant elles !
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De toute manière, après tout, ces questions d’environnements, « cela commence à bien faire ! »
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Mardi 4 mai 2010 :
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Alors que nous étions en droit d’espérer enfin de fermes prises de position sur notre environnement, des avancées notables dans la sauvegarde de la nature en vertu des discussions dites « de Grenelle », voilà que ce qui va être débattu à l’Assemblée nationale dans les jours qui viennent est non seulement un ersatz de nos attentes mais en plus une reculade face aux plus petits des objectifs.
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Exit la Taxe Carbone. Je regrette son abandon. Je l’ai déjà expliqué dans d’autres papiers.
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Expérimental, l’étiquetage du Carbone
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Limiter l’usage des éoliennes !
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Sur ce sujet, je mets tout de suite les choses au point : je ne suis pas un fanatique du développement des éoliennes. Ma réticence à l’installation de ces installations provient plutôt du côté, comment dirais-je, peu esthétique à mon gout. Il faut voir les quelques éoliennes installées sur les hauts plateaux du Mézenc pour s’en convaincre.
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Toutefois, je reconnais qu’en tant qu’énergie de remplacement, ce type d’infrastructure est nettement préférable à d’autres que certains lobby tentent de défendre !
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Par une multitude d’amendement sensée rendre l’industrie éolienne acceptable, l'ensemble des restrictions du rapport Ollier présentée à l’Assemblée nationale conduira à rendre quasiment impossible l’implantation de toute nouvelle installation, la création de parcs éoliens.
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Couper les ailes des éoliennes ! Triste et lamentable ironie.
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A qui profite le crime ? Telle est la question que l’on pourrait se poser. Et la réponse est tellement évidente : C'est l'intérêt bien compris des groupes de pression des énergies fissile et fossile qui est derrière un tel revirement.
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Au moment de la catastrophe écologique du Golfe du Mexique, tout cela est il bien raisonnable ?
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Après plus de deux années de débat, le Grenelle tel qu’il est désormais ignorera de limiter la construction d’autoroutes et d’aéroports, laissera la surconsommation d’engrais perdurer, oubliera l’impact des poids-lourds sur l’environnement et favorisera l’étranglement méthodique des énergies de substitution.
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Notre avenir est tout rose : la dynamique du Grenelle est enterrée, l’environnement est en danger et les « vieilles » énergies ont de l’avenir devant elles !
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De toute manière, après tout, ces questions d’environnements, « cela commence à bien faire ! »
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