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Mardi 6 avril 2010 :
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L’agitation environnementale est à la mode et secours tous les microcosmes de la planète tout en mettant un sacré bazar dans l’intelligentsia. Une nouvelle course est désormais lancée qui a pour but d’avoir plus d’idées, plus de projets, plus de programmes pout lancer des éoliennes, des panneaux photovoltaïques, du biogaz et toutes sortes d'installations supposées nous sauver du péril dans lequel nous nous sommes plongés. A Marseille ou Toulon les toits de certains bâtiments publics sont utilisés pour y dérouler
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Dans cette frénésie, les collectivités territoriales ne sont pas en reste et propose sans aucun état d’âme de sacrifier quelques hectares pour y installer les précieux capteurs. C’est ainsi qu’un maire de la Sainte Baume envisage très sérieusement d’installer une centrale photovoltaïque à l’abri du pic de Bertagne ou que de disgracieuses éoliennes ont couvert les champs de l’Aveyron sans troubler pour autant les chèvres de Roquefort.
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C’est dans ce contexte que Nicolas Sarkozy renonce à la taxe carbone, qu’il nous avait pourtant présenté il y a peu comme la panacée universelle et le déclencheur à la prise de conscience par notre pays de l’urgence environnementale dans laquelle nous nous trouvions.
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Mais ce n’est que dans la logique d’un homme qui a lancé lors du dernier salon de l’agriculture ; « l'environnement ça commence à bien faire ! ». Quant on sait que ce président se targue d’être l’ami de Claude Allegre, l’un explique peut-être l’autre !
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Mais, dans le contexte exacerbé que nous connaissons, ces décisions, ces petites phrases, ne sont pas innocentes. Cette agitation autour de l'environnement est salutaire. Elle vient fragiliser nos certitudes sur une planète aux ressources inépuisables et surtout en capacité de corriger les erreurs humaines.
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Les collectivités qui s’engagent sur la voie des énergies renouvelables ont raison. Certes, ce sont les préliminaires, personne ne sait exactement vers quoi on va. Au regard des enjeux, ça ne coûte pas grand chose de faire un petit quelque chose. Et il faut tout tenter, ce ne peut être que bon pour l’humanité
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Mardi 6 avril 2010 :
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L’agitation environnementale est à la mode et secours tous les microcosmes de la planète tout en mettant un sacré bazar dans l’intelligentsia. Une nouvelle course est désormais lancée qui a pour but d’avoir plus d’idées, plus de projets, plus de programmes pout lancer des éoliennes, des panneaux photovoltaïques, du biogaz et toutes sortes d'installations supposées nous sauver du péril dans lequel nous nous sommes plongés. A Marseille ou Toulon les toits de certains bâtiments publics sont utilisés pour y dérouler
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Dans cette frénésie, les collectivités territoriales ne sont pas en reste et propose sans aucun état d’âme de sacrifier quelques hectares pour y installer les précieux capteurs. C’est ainsi qu’un maire de la Sainte Baume envisage très sérieusement d’installer une centrale photovoltaïque à l’abri du pic de Bertagne ou que de disgracieuses éoliennes ont couvert les champs de l’Aveyron sans troubler pour autant les chèvres de Roquefort.
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C’est dans ce contexte que Nicolas Sarkozy renonce à la taxe carbone, qu’il nous avait pourtant présenté il y a peu comme la panacée universelle et le déclencheur à la prise de conscience par notre pays de l’urgence environnementale dans laquelle nous nous trouvions.
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Mais ce n’est que dans la logique d’un homme qui a lancé lors du dernier salon de l’agriculture ; « l'environnement ça commence à bien faire ! ». Quant on sait que ce président se targue d’être l’ami de Claude Allegre, l’un explique peut-être l’autre !
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Mais, dans le contexte exacerbé que nous connaissons, ces décisions, ces petites phrases, ne sont pas innocentes. Cette agitation autour de l'environnement est salutaire. Elle vient fragiliser nos certitudes sur une planète aux ressources inépuisables et surtout en capacité de corriger les erreurs humaines.
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Les collectivités qui s’engagent sur la voie des énergies renouvelables ont raison. Certes, ce sont les préliminaires, personne ne sait exactement vers quoi on va. Au regard des enjeux, ça ne coûte pas grand chose de faire un petit quelque chose. Et il faut tout tenter, ce ne peut être que bon pour l’humanité
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2 commentaires:
Que veux tu dires par; "Quand on sait que ce président se targue d'être l'ami de claude allègre"?
Veux tu dire que Allègre est un anti écologiste?
Et as tu toi aussi succombé au dogme de la pensée unique?
Attention à ce que tu écrit Jean Claude. Quant on aborde ce genre de sujet il faut un peu plus de rigueur intellectuelle.
Il y a beaucoup de climato alarmiste qui ont du se trouver bien con quand les ferry suédois ont été bloqués par la banquise cet hiver.
Allez reprends toi je t 'ai connu meilleur.
Thierry Tamisier.
Perso,je suis plutôt d'accord avec Jean-Claude en fonction du principe: "Ecologisez, écologisez, il en restera toujours quelquechose.
Quant aux relations Sarko-Allègre, notre président fréquente aussi des scientologues de renom, alors .....
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