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Mardi 17 novembre 2009 :
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En ce mardi, je ne peux que revenir un peu en arrière et sur l’échange s’étant passé la semaine dernière à la MDQ de la Frescoule sous l’autorité de l’ADEV et en présence d’un représentant de la DGAC, Mr Chaffange.
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Avant d’aller plus loin, je dois saluer l’attitude « zen » de ce représentant qui n’avait qu’à présenter un discours « langue de bois » face à une colère souvent difficilement contrôlable de vitrollais excédé par les nuisances sonores en provenance de l’aéroport.
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Il est vrai qu’après l’été « infernal » auquel nous avons eu droit, avec avions de plus en plus bas et de plus en plus nombreux, hélicoptères en vol stationnaires quotidiennement, multiplication des vols de nuits, la situation s’est pour le moins dégradée et l’exaspération des vitrollais et principalement ceux habitant dans les quartiers sud à son comble.
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Maintenant, ceci posé, soyons réaliste. Il est peu probable que l’aile « extrémiste » des contestataires qui réclame l’arrêt total des vols au dessus des Pinchinades soit entendue. Il est aussi peu probable que nous (les vitrollais) arrivions rapidement à un accord de partage des nuisances avec les autres communes concernées. Au vu des tensions existantes, le dialogue risque d’être difficile à amorcer même si notre maire, plein d’entrain et surtout en campagne électorale, a promis d’approcher les autres communes concernées pour tenter de leur expliquer nos problèmes.
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Alors, que retenir de cette réunion ?
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Que le représentant de la DGAC semble plein de bonnes volontés mais a tout de suite posé les barrières de son action : il va tenter de réduire les nuisances mais pas de les supprimer.
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Que les membres de l’association sont à bout de patience et vont tenter cette ultime conciliation.
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Que je suis intimement convaincu que supprimer les nuisances causées par l’aéroport est irréalisable mais que par contre le combat doit se déplacer sur les réduire ou, au pire, qu’elles reviennent au niveau auxquelles elles se trouvaient il y a cinq ans.
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Qu’il fut amusant de voir combien les candidats à l’élection cantonale étaient assidus à une réunion et auprès des membres d’une association que, d’habitude, ils ont tendances à ignorer.
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Mardi 17 novembre 2009 :
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En ce mardi, je ne peux que revenir un peu en arrière et sur l’échange s’étant passé la semaine dernière à la MDQ de la Frescoule sous l’autorité de l’ADEV et en présence d’un représentant de la DGAC, Mr Chaffange.
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Avant d’aller plus loin, je dois saluer l’attitude « zen » de ce représentant qui n’avait qu’à présenter un discours « langue de bois » face à une colère souvent difficilement contrôlable de vitrollais excédé par les nuisances sonores en provenance de l’aéroport.
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Il est vrai qu’après l’été « infernal » auquel nous avons eu droit, avec avions de plus en plus bas et de plus en plus nombreux, hélicoptères en vol stationnaires quotidiennement, multiplication des vols de nuits, la situation s’est pour le moins dégradée et l’exaspération des vitrollais et principalement ceux habitant dans les quartiers sud à son comble.
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Maintenant, ceci posé, soyons réaliste. Il est peu probable que l’aile « extrémiste » des contestataires qui réclame l’arrêt total des vols au dessus des Pinchinades soit entendue. Il est aussi peu probable que nous (les vitrollais) arrivions rapidement à un accord de partage des nuisances avec les autres communes concernées. Au vu des tensions existantes, le dialogue risque d’être difficile à amorcer même si notre maire, plein d’entrain et surtout en campagne électorale, a promis d’approcher les autres communes concernées pour tenter de leur expliquer nos problèmes.
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Alors, que retenir de cette réunion ?
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Que le représentant de la DGAC semble plein de bonnes volontés mais a tout de suite posé les barrières de son action : il va tenter de réduire les nuisances mais pas de les supprimer.
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Que les membres de l’association sont à bout de patience et vont tenter cette ultime conciliation.
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Que je suis intimement convaincu que supprimer les nuisances causées par l’aéroport est irréalisable mais que par contre le combat doit se déplacer sur les réduire ou, au pire, qu’elles reviennent au niveau auxquelles elles se trouvaient il y a cinq ans.
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Qu’il fut amusant de voir combien les candidats à l’élection cantonale étaient assidus à une réunion et auprès des membres d’une association que, d’habitude, ils ont tendances à ignorer.
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1 commentaire:
Bonsoir Jean-Claude,
Très pertinente, ton analyse de la situation depuis l'arrivée de Mr Chaffange.
Une réunion plus "technique" s'est tenue hier 19 novembre. Ce monsieur a confirmé que sa mission (pour l'instant) était d'essayer de réduire les nuisances sans modifier les trajectoires en direction.
Or, comme même en cas de partage des survols avec 'autres, il y aura toujours des survols de Vitrolles-sud, ces améliorations seront toujours bonnes à prendre. A suivre.
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