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Vendredi 13 novembre 2009 :
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Certains matins, quand je me rase, je me pose de graves questions existentielles du style « Est-ce que je me présente à la présidentielle 2012 ? » ou moins egocentrique « Pourquoi est-ce que je dois me lever si tôt ce matin ? »
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D’autre matin, je pense à de grands sujets de débats philosophiques qui traversent notre société comme «Vais-je mettre une cravate aujourd’hui ? »
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Mais ce matin, c’est à un autre sujet que j’ai pensé, en l’occurrence quel soutien apporter ou ne pas apporter à des candidats aux cantonales autre que ceux de notre parti. Et, dans cette optique, de me poser la question de ces conseillers municipaux engagés pour la plupart sous la bannière de la société civile et qui vont faire campagne pour Loïc Gachon.
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Dans mon optique, Loïc Gachon ne peut être le candidat de la majorité municipale pour au moins une raison flagrante : les communistes, membre de cette majorité municipale, présente un candidat comme lui. Pire, ce candidat est même un conseiller municipal emblématique. Donc, de deux choses l’une : ou il est candidat de la majorité municipale et les communistes n’en font donc plus parti, ou il est le candidat uniquement des socialistes.
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Loïc Gachon ne pouvant visiblement pas prétendre au titre de candidat de la majorité municipale, c’est donc la deuxième solution qui prévaut : candidat du Parti Socialiste. Cette perception de sa candidature est renforcée par le fait que sa désignation, ne l’oublions pas, a été faite grâce à un sondage financé par le Parti Socialiste mettant aux prises les prétendants socialistes et uniquement eux. La décision finale a été prise directement par Jean-Louis Guerini, en présence uniquement des quatre prétendants socialistes, dans son bureau du bateau bleu de surcroit.
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La solidarité municipale ne peut non plus être invoquée pour expliquer ces soutiens car la simple présence de Henry Agarrat comme candidat annihile cet argument.
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Dans ce contexte, dès le moment où nous sommes en présence d’un candidat socialiste, faire campagne pour lui lorsque l’on n’est pas de ce parti sous entend passer sous les fourches caudines de ce même parti. Autant prendre directement la carte du PS, d’autant plus que d’après les rumeurs courant dans le département, il en a bien besoin actuellement !
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Pour terminer, mettons les choses au point : je n’ai rien contre le jeune maire de Vitrolles, bien au contraire. Je trouve pour l’instant ses premières prestations à ce poste digne d’éloge et il se sort relativement bien de toutes les chausses trappes qui lui sont tendus, même s’il manque encore visiblement d’un peu de tact et de roublardise politique.
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Décidément, à Vitrolles, la politique est toujours plein de surprise !
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Vendredi 13 novembre 2009 :
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Certains matins, quand je me rase, je me pose de graves questions existentielles du style « Est-ce que je me présente à la présidentielle 2012 ? » ou moins egocentrique « Pourquoi est-ce que je dois me lever si tôt ce matin ? »
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D’autre matin, je pense à de grands sujets de débats philosophiques qui traversent notre société comme «Vais-je mettre une cravate aujourd’hui ? »
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Mais ce matin, c’est à un autre sujet que j’ai pensé, en l’occurrence quel soutien apporter ou ne pas apporter à des candidats aux cantonales autre que ceux de notre parti. Et, dans cette optique, de me poser la question de ces conseillers municipaux engagés pour la plupart sous la bannière de la société civile et qui vont faire campagne pour Loïc Gachon.
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Dans mon optique, Loïc Gachon ne peut être le candidat de la majorité municipale pour au moins une raison flagrante : les communistes, membre de cette majorité municipale, présente un candidat comme lui. Pire, ce candidat est même un conseiller municipal emblématique. Donc, de deux choses l’une : ou il est candidat de la majorité municipale et les communistes n’en font donc plus parti, ou il est le candidat uniquement des socialistes.
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Loïc Gachon ne pouvant visiblement pas prétendre au titre de candidat de la majorité municipale, c’est donc la deuxième solution qui prévaut : candidat du Parti Socialiste. Cette perception de sa candidature est renforcée par le fait que sa désignation, ne l’oublions pas, a été faite grâce à un sondage financé par le Parti Socialiste mettant aux prises les prétendants socialistes et uniquement eux. La décision finale a été prise directement par Jean-Louis Guerini, en présence uniquement des quatre prétendants socialistes, dans son bureau du bateau bleu de surcroit.
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La solidarité municipale ne peut non plus être invoquée pour expliquer ces soutiens car la simple présence de Henry Agarrat comme candidat annihile cet argument.
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Dans ce contexte, dès le moment où nous sommes en présence d’un candidat socialiste, faire campagne pour lui lorsque l’on n’est pas de ce parti sous entend passer sous les fourches caudines de ce même parti. Autant prendre directement la carte du PS, d’autant plus que d’après les rumeurs courant dans le département, il en a bien besoin actuellement !
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Pour terminer, mettons les choses au point : je n’ai rien contre le jeune maire de Vitrolles, bien au contraire. Je trouve pour l’instant ses premières prestations à ce poste digne d’éloge et il se sort relativement bien de toutes les chausses trappes qui lui sont tendus, même s’il manque encore visiblement d’un peu de tact et de roublardise politique.
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Décidément, à Vitrolles, la politique est toujours plein de surprise !
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