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Mercredi 1er septembre 2010 :
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La rubrique que vous attendez tous : l’actualité vitrollaise et nationale (politique ou non) au jour le jour. Les coups de cœur comme les coups de gueule, les questions comme les réponses !
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Mercredi 1er septembre 2010 :
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La rubrique que vous attendez tous : l’actualité vitrollaise et nationale (politique ou non) au jour le jour. Les coups de cœur comme les coups de gueule, les questions comme les réponses !
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Mercredi 25 aout : Je me suis retrouvé de bonne heure ce matin à La Poste et, après avoir assisté à une scène surréaliste, je me pose quelques questions sur la nature humaine et je vais, une fois n’est pas coutume, encenser la patience des postières de ce bureau.
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Donc, ce matin, devant moi, un « agité du bocal » qui commence par se précipiter au guichet avant même que la personne le précédant le libère, la bousculant au passage. Je passe sur le rapide échange d’amabilité entre ces deux usagers (mot « usager » volontairement employé !) pour entrer dans le vif du sujet. Voila donc un usager qui demande à l’employé de retirer 6000 euros du compte postal de sa mère. Et là, nous entrons dans la sixième dimension :
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Donc, première prise de tête pour lui expliquer que retirer immédiatement une telle somme est impossible car la Poste (comme la plupart des banques d’ailleurs) demande un délai de 24 heures pour les montants au dessus de 1500 euros.
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Deuxième prise de tête ensuite quand la postière, pour préparer le retrait du lendemain lui demande une pièce d’identité. Manque de chance, il ne les a pas sur lui et n’a d’ailleurs aucun papier pouvant confirmer son identité.
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Troisième prise de tête quant la postière, toujours calme, lui réclame les coordonnés du compte de sa mère. Il n’a rien sur lui concernant ces coordonnés, uniquement le nom !
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Et là, cerise sur le gâteau, quand la préposée et la directrice du bureau qui est intervenue à la troisième prise de tête, découvre que le compte, quoique positif, n’a pas autant d’argent que réclamé et qu’aucune procuration n’y a été établie !
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Quant en plus cet « agité du bocal » s’énerve réellement parce qu’il a rendez-vous à dix heures avec le propriétaire de la voiture qu’il veut acheter et qu’il ne comprend pas pourquoi les onze mille euros promis par l’assurance dans la lettre adressée à sa mère la veille ne sont pas sur le compte, nous sommes vraiment dans la sixième dimension
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Quand j’ai quitté le bureau de poste, il était toujours là à protester en plein milieu du bureau de poste contre ces fonctionnaires qui appliquaient les règlements au pied de la lettre.
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Pauvre fonctionnaire !
Mercredi 25 aout : Je me suis retrouvé de bonne heure ce matin à La Poste et, après avoir assisté à une scène surréaliste, je me pose quelques questions sur la nature humaine et je vais, une fois n’est pas coutume, encenser la patience des postières de ce bureau.
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Donc, ce matin, devant moi, un « agité du bocal » qui commence par se précipiter au guichet avant même que la personne le précédant le libère, la bousculant au passage. Je passe sur le rapide échange d’amabilité entre ces deux usagers (mot « usager » volontairement employé !) pour entrer dans le vif du sujet. Voila donc un usager qui demande à l’employé de retirer 6000 euros du compte postal de sa mère. Et là, nous entrons dans la sixième dimension :
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Donc, première prise de tête pour lui expliquer que retirer immédiatement une telle somme est impossible car la Poste (comme la plupart des banques d’ailleurs) demande un délai de 24 heures pour les montants au dessus de 1500 euros.
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Deuxième prise de tête ensuite quand la postière, pour préparer le retrait du lendemain lui demande une pièce d’identité. Manque de chance, il ne les a pas sur lui et n’a d’ailleurs aucun papier pouvant confirmer son identité.
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Troisième prise de tête quant la postière, toujours calme, lui réclame les coordonnés du compte de sa mère. Il n’a rien sur lui concernant ces coordonnés, uniquement le nom !
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Et là, cerise sur le gâteau, quand la préposée et la directrice du bureau qui est intervenue à la troisième prise de tête, découvre que le compte, quoique positif, n’a pas autant d’argent que réclamé et qu’aucune procuration n’y a été établie !
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Quant en plus cet « agité du bocal » s’énerve réellement parce qu’il a rendez-vous à dix heures avec le propriétaire de la voiture qu’il veut acheter et qu’il ne comprend pas pourquoi les onze mille euros promis par l’assurance dans la lettre adressée à sa mère la veille ne sont pas sur le compte, nous sommes vraiment dans la sixième dimension
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Quand j’ai quitté le bureau de poste, il était toujours là à protester en plein milieu du bureau de poste contre ces fonctionnaires qui appliquaient les règlements au pied de la lettre.
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Pauvre fonctionnaire !
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Jeudi 26 aout : Pour des raisons à la fois professionnelle et personnelle, je suis amené à me rendre ce soir dans les locaux d’un groupeur que je ne connaissais jusqu’à présent que de nom et installé depuis quelques mois dans la zone de l’Anjolly. L’accueil est intéressant : je me trouve chez un de ces nouveaux transitaires directement inspiré par le XXVème siècle (ou des meilleurs épisodes de « NCIS Los-Angeles »), écrans tactiles, iphone, désign futuriste, bâtiment sobre, employés au sourire carnassier, moyenne d’âge 25 ans. Cela me fait plutôt sourire parce qu’en maritime, j’en ai vu des vertes et des pas mures et que je pense que plus rien ne peux m’impressionner. « Je pensais » aurais-je plutôt écrire !
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Parce que ma visite dans l’entrepôt de ce groupeur high-tech fit se dresser mes cheveux sur la tête. Dans un coin de son hangar, il me montre son « coin dangereux » « qui, comme vous pouvez le voir est séparé par quatre mètres libres du reste de l’entrepôt et avec tous les types d’extincteurs existants ». Et je vois empiler côte à côte toutes les classes et les types de dangereux possibles et inimaginables en dépit du bon sens et sans tenir compte du moindre règlement international en la matière.
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Pire, à ma question concernant des pots de peinture et des batteries devant être mis dans un conteneur, le transformant du même coup en un conteneur assujetti au règlement maritime internationaux sur les dangereux (le fameux IMDG pour ceux qui connaissent), je m’entends répondre « que cela n’a pas d’importance parce que la quantité mise à l’intérieur ne nécessite pas de les déclarer aux compagnies maritimes ». Nous parlons quand même d’une douzaine de batterie, de plus de 500 kgs de peinture, de plusieurs litres de décapant hautement inflammable et, cerise sur le gâteau, de six bouteilles d’un petit gaz très sympathique au niveau de l’inflammabilité.
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Donc, pour revenir à mon onzième rappel du mercredi 11 aout, on peut mettre en place n’importe quel système de protection, n’importe quel système de contrôle, quand une société en est à ce point là de négligence et d’inconscience, il ne reste plus qu’à prier !
Jeudi 26 aout : Pour des raisons à la fois professionnelle et personnelle, je suis amené à me rendre ce soir dans les locaux d’un groupeur que je ne connaissais jusqu’à présent que de nom et installé depuis quelques mois dans la zone de l’Anjolly. L’accueil est intéressant : je me trouve chez un de ces nouveaux transitaires directement inspiré par le XXVème siècle (ou des meilleurs épisodes de « NCIS Los-Angeles »), écrans tactiles, iphone, désign futuriste, bâtiment sobre, employés au sourire carnassier, moyenne d’âge 25 ans. Cela me fait plutôt sourire parce qu’en maritime, j’en ai vu des vertes et des pas mures et que je pense que plus rien ne peux m’impressionner. « Je pensais » aurais-je plutôt écrire !
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Parce que ma visite dans l’entrepôt de ce groupeur high-tech fit se dresser mes cheveux sur la tête. Dans un coin de son hangar, il me montre son « coin dangereux » « qui, comme vous pouvez le voir est séparé par quatre mètres libres du reste de l’entrepôt et avec tous les types d’extincteurs existants ». Et je vois empiler côte à côte toutes les classes et les types de dangereux possibles et inimaginables en dépit du bon sens et sans tenir compte du moindre règlement international en la matière.
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Pire, à ma question concernant des pots de peinture et des batteries devant être mis dans un conteneur, le transformant du même coup en un conteneur assujetti au règlement maritime internationaux sur les dangereux (le fameux IMDG pour ceux qui connaissent), je m’entends répondre « que cela n’a pas d’importance parce que la quantité mise à l’intérieur ne nécessite pas de les déclarer aux compagnies maritimes ». Nous parlons quand même d’une douzaine de batterie, de plus de 500 kgs de peinture, de plusieurs litres de décapant hautement inflammable et, cerise sur le gâteau, de six bouteilles d’un petit gaz très sympathique au niveau de l’inflammabilité.
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Donc, pour revenir à mon onzième rappel du mercredi 11 aout, on peut mettre en place n’importe quel système de protection, n’importe quel système de contrôle, quand une société en est à ce point là de négligence et d’inconscience, il ne reste plus qu’à prier !
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Vendredi 27 aout : Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas NCIS qui m’a interpellé mais un épisode de « Numb3rs » qui a suivi. Dans cet épisode donc, les frères Epps sont à la recherche d’un chargement d’armes d’une valeur de plusieurs millions de dollars entreposé dans un conteneur se trouvant caché au milieu des autres conteneurs sur le terminal de Los-Angeles.
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Il faut tout d’abord savoir que le port de Los-Angeles, avec Miami et New-York, est celui qui a la réputation d’être là la fois e plus sûr et le plus surveillé du monde. Entendre que des conteneurs d’armes y sont caché me sembla tout d’abord une élucubration de scénaristes. Sauf que les explications donnés par ces mêmes scénaristes, via cet épisode, et ma rapide recherche de renseignements sur la faisabilité d’un tel scénario, me fit froid dans le dos.
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En effet, les risques pour un marchand d’armes de se faire voler son chargement est au moment de l’entreposage lors des négociations. Les pays africains ne sont pas sûr, les pays de l’est ou d’Asie, n’en parlons pas. Il faut donc à ces grands trafiquants des lieux sûrs où leurs marchandises ne risquent rien. Les trois ports ci-dessus cité étant les plus sur du monde, manipulant journellement plusieurs milliers de conteneurs, stockant plusieurs centaine de milliers de boites, sont les endroits rêvés pour y dissimuler leurs cargaisons illicites.
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Pour cela, rien de plus simple : un port d’origine relativement « sûr » comme un port européen ou l’un des grands ports asiatiques, une « documentation clean » c'est-à-dire avec des mentions, des descriptions, des donneurs d’ordre au dessus de tout soupçon même si ce donneur d’ordre n’est pas au courant de l’envoi, le nom suffisant.
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Vendredi 27 aout : Une fois n’est pas coutume, ce n’est pas NCIS qui m’a interpellé mais un épisode de « Numb3rs » qui a suivi. Dans cet épisode donc, les frères Epps sont à la recherche d’un chargement d’armes d’une valeur de plusieurs millions de dollars entreposé dans un conteneur se trouvant caché au milieu des autres conteneurs sur le terminal de Los-Angeles.
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Il faut tout d’abord savoir que le port de Los-Angeles, avec Miami et New-York, est celui qui a la réputation d’être là la fois e plus sûr et le plus surveillé du monde. Entendre que des conteneurs d’armes y sont caché me sembla tout d’abord une élucubration de scénaristes. Sauf que les explications donnés par ces mêmes scénaristes, via cet épisode, et ma rapide recherche de renseignements sur la faisabilité d’un tel scénario, me fit froid dans le dos.
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En effet, les risques pour un marchand d’armes de se faire voler son chargement est au moment de l’entreposage lors des négociations. Les pays africains ne sont pas sûr, les pays de l’est ou d’Asie, n’en parlons pas. Il faut donc à ces grands trafiquants des lieux sûrs où leurs marchandises ne risquent rien. Les trois ports ci-dessus cité étant les plus sur du monde, manipulant journellement plusieurs milliers de conteneurs, stockant plusieurs centaine de milliers de boites, sont les endroits rêvés pour y dissimuler leurs cargaisons illicites.
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Pour cela, rien de plus simple : un port d’origine relativement « sûr » comme un port européen ou l’un des grands ports asiatiques, une « documentation clean » c'est-à-dire avec des mentions, des descriptions, des donneurs d’ordre au dessus de tout soupçon même si ce donneur d’ordre n’est pas au courant de l’envoi, le nom suffisant.
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Avec ces simples renseignements, votre conteneur peut pénétrer sur le sol américain. Ensuite, il lui faut stationner sur le terminal et lui faire éviter le flux du système de sécurité SMD. Pour cela, un simple docker un peu au courant de ce flux (et tous aux USA le connaissent) et le tour est joué.
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Pour quelques dizaine de milliers de dollar (de l’ordre de 30 à 40000 dollars), vous protégez ad vitam aeternam votre chargement d’armement à plusieurs dizaines de millions de dollars
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Faites maintenant le même raisonnement avec des chargements de drogue ...
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Pour quelques dizaine de milliers de dollar (de l’ordre de 30 à 40000 dollars), vous protégez ad vitam aeternam votre chargement d’armement à plusieurs dizaines de millions de dollars
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Faites maintenant le même raisonnement avec des chargements de drogue ...
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Samedi 28 aout : Comme vous le savez tous désormais, le samedi matin est réservé aux courses sur Marseille. Famille oblige et je n’ai aucune intention de remettre en cause ces obligations. Mais aujourd’hui, est-ce un phénomène propre à la rentrée, au fait que des allocations ont été versé, à l’air du temps, outre le fait que les grandes surfaces sont bondés, je m’aperçois que certains produits de grande consommation ont subi de manière incontrôlé un coup de fouet vers les cimes de l’Everest.
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Mon premier réflexe est de penser que la grande surface dans laquelle je me trouve a procédé à des rajustements de prix, ses produits de marques étant généralement un peu moins cher qu’ailleurs. Mon deuxième réflexe fut de me dire que les prix avaient augmentés sur les produits les plus vendus. Mais, en arrivant dans une autre grande surface d’une autre enseigne l’après-midi pour nos propres courses, je constate les mêmes augmentations sur les mêmes produits.
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Bizarre combien la matière première sur ces produits d’appel a fait une crise de croissance. Je ne savais pas que certaines marques étaient directement indexées sur le cours du baril de Brent. Va falloir que je révise mon agro économie !
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Samedi 28 aout : Comme vous le savez tous désormais, le samedi matin est réservé aux courses sur Marseille. Famille oblige et je n’ai aucune intention de remettre en cause ces obligations. Mais aujourd’hui, est-ce un phénomène propre à la rentrée, au fait que des allocations ont été versé, à l’air du temps, outre le fait que les grandes surfaces sont bondés, je m’aperçois que certains produits de grande consommation ont subi de manière incontrôlé un coup de fouet vers les cimes de l’Everest.
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Mon premier réflexe est de penser que la grande surface dans laquelle je me trouve a procédé à des rajustements de prix, ses produits de marques étant généralement un peu moins cher qu’ailleurs. Mon deuxième réflexe fut de me dire que les prix avaient augmentés sur les produits les plus vendus. Mais, en arrivant dans une autre grande surface d’une autre enseigne l’après-midi pour nos propres courses, je constate les mêmes augmentations sur les mêmes produits.
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Bizarre combien la matière première sur ces produits d’appel a fait une crise de croissance. Je ne savais pas que certaines marques étaient directement indexées sur le cours du baril de Brent. Va falloir que je révise mon agro économie !
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Dimanche 29 aout : La polémique sur le site de la Provence entre ceux qui font, ceux qui sont censé faire, ceux qui dénigrent bat son plein avec, en toile de fond, le scandale des Cabanons de l’Agneau et une certaine détresse humaine.
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Il ne fait aucun doute dans ma tête que la récupération politique est là et que la plupart des aigries qui déversent leur fiel sur cet affaire sont les déçus d’une OPA ratée.
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Cette bataille intestine avec en toile de fond l’idée d’être plus caritatif que son voisin et de le clamer plus fort que les autres m’a refroidi dans mon intention initiale de m’investir dans ce combat. Toutefois, malgré le fait que ce type d’action n’est pas dans mon domaine habituel d’intervention et la tension existante sur ce dossier, j’ai décidé de tenter d’apporter mes maigres connaissances à ce combat.
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Je commencerais donc mardi 7 septembre par un petit papier sur ce blog avant de m’attaquer plus concrètement à cet Everest juridique.
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Dimanche 29 aout : La polémique sur le site de la Provence entre ceux qui font, ceux qui sont censé faire, ceux qui dénigrent bat son plein avec, en toile de fond, le scandale des Cabanons de l’Agneau et une certaine détresse humaine.
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Il ne fait aucun doute dans ma tête que la récupération politique est là et que la plupart des aigries qui déversent leur fiel sur cet affaire sont les déçus d’une OPA ratée.
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Cette bataille intestine avec en toile de fond l’idée d’être plus caritatif que son voisin et de le clamer plus fort que les autres m’a refroidi dans mon intention initiale de m’investir dans ce combat. Toutefois, malgré le fait que ce type d’action n’est pas dans mon domaine habituel d’intervention et la tension existante sur ce dossier, j’ai décidé de tenter d’apporter mes maigres connaissances à ce combat.
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Je commencerais donc mardi 7 septembre par un petit papier sur ce blog avant de m’attaquer plus concrètement à cet Everest juridique.
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Lundi 30 aout : J’ai l‘agréable surprise de recevoir un long mail de Philippe Gardiol qui, après avoir lu ce blog, apporte des précisions des plus intéressantes sur mon onzième rappel qui traitait, je vous le rappelle, d’environnement et des zones à préserver (Etang, Arbois, Cadières, etc …)
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Je reviendrais dans les deux mois qui viennent de manière plus détaillée et plus spécifique sur chacun des rappels que j’ai fait durant et bien entendu sur le sujet brulant de l’Environnement l’été mais je dois dire d’ores et déjà que j’apprécie à sa juste valeur la réponse de Philippe et le temps qu’il a pris pour argumenter sa réponse.
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Je me contenterais par contre de regretter que tous les élus de Vitrolles n’aient pas et cette démarche citoyenne ou, de manière plus générale, ne s’investissent pas de manière plus importante dans ce que j’appellerais la démocratie de proximité. Il serait souhaitable que les élus n’ignorent pas les remarques faites, qu’ils ne fassent pas « dans l’obscurité » leur petit train train quotidien et ne se rappellent à l’existence des vitrollais qu’au moment des grandes échéances.
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Enfin, pour ce que j’en dis !
Lundi 30 aout : J’ai l‘agréable surprise de recevoir un long mail de Philippe Gardiol qui, après avoir lu ce blog, apporte des précisions des plus intéressantes sur mon onzième rappel qui traitait, je vous le rappelle, d’environnement et des zones à préserver (Etang, Arbois, Cadières, etc …)
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Je reviendrais dans les deux mois qui viennent de manière plus détaillée et plus spécifique sur chacun des rappels que j’ai fait durant et bien entendu sur le sujet brulant de l’Environnement l’été mais je dois dire d’ores et déjà que j’apprécie à sa juste valeur la réponse de Philippe et le temps qu’il a pris pour argumenter sa réponse.
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Je me contenterais par contre de regretter que tous les élus de Vitrolles n’aient pas et cette démarche citoyenne ou, de manière plus générale, ne s’investissent pas de manière plus importante dans ce que j’appellerais la démocratie de proximité. Il serait souhaitable que les élus n’ignorent pas les remarques faites, qu’ils ne fassent pas « dans l’obscurité » leur petit train train quotidien et ne se rappellent à l’existence des vitrollais qu’au moment des grandes échéances.
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Enfin, pour ce que j’en dis !
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Mardi 31 aout : Je suis toujours surpris par la mauvaise foi et la mémoire courte dont font montre les politiques quand il se retrouve en mauvaise posture. Tel des coqs montés sur leurs ergots, ils se lancent dans des contre offensives qui sont toujours dévastatrices pour eux même.
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Eric Woerth, très mal en point médiatiquement parlant, tente une contre-attaque qui rate complètement sa cible. Ainsi, interviewé par pas moins de quatre journalistes du Figaro, il déclare, parlant de Corinne Lepage : « C'est quand même un comble de recevoir des leçons de morale de la part de quelqu'un comme elle ! Que faisait son mari lorsqu'elle était ministre de l'Environnement ? Ne dirigeait-il pas un cabinet d'avocat spécialisé, précisément dans l'environnement ? »
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Manque de chance pour lui, Corinne a bien d’autres défauts, mais pas celui dont l’accuse Eric Woerth, pas celui de conflit d’intérêt comme le laisse entendre Eric Woerth.
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Et la réponse cinglante de Corinne, publié par son staff, se suffit en elle-même : « Le cabinet d’avocats Huglo-Lepage, premier cabinet spécialisé dans le droit de l’environnement, a été fondé en 1978, bien avant la nomination de Corinne Lepage au gouvernement, par son époux Christian Huglo, un des fondateurs du droit de l’environnement dès 1969.
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En 1995, dès la nomination de Corinne Lepage au gouvernement, tous les dossiers de droit de l’environnement gérés par le cabinet Huglo-Lepage, y compris les dossiers historiques comme la pollution du Rhin suivi depuis 1980, le dossier de Creys-Malville, les dossiers nucléaires et les dossiers d ‘installations classées qui opposaient les clients du cabinet à l’Etat, ont immédiatement été transférés au cabinet Meyer pour éviter tout risque de conflit d’intérêt.
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Maître Christian Huglo s’est alors reconverti dans le droit des collectivités locales et des juridictions financières publiques. Christian Huglo, ayant été en contact à l’époque avec Eric Woerth dans certains dossiers, s’étonne que l’actuel ministre du travail ne se souvienne de ce changement d’activité. Le cabinet Huglo-Lepage n’a repris son activité dans le domaine du droit de l’environnement public qu’après le départ de Corinne Lepage du gouvernement.
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Corinne Lepage tient également à rappeler que le cabinet avait enfin changé de nom, son nom ayant été supprimé pour éviter toute confusion et mélanges de genres. »
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Encore une fois, l’arroseur Woerth arrosé. Il doit y prendre gout à mon avis !
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Mardi 31 aout : Je suis toujours surpris par la mauvaise foi et la mémoire courte dont font montre les politiques quand il se retrouve en mauvaise posture. Tel des coqs montés sur leurs ergots, ils se lancent dans des contre offensives qui sont toujours dévastatrices pour eux même.
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Eric Woerth, très mal en point médiatiquement parlant, tente une contre-attaque qui rate complètement sa cible. Ainsi, interviewé par pas moins de quatre journalistes du Figaro, il déclare, parlant de Corinne Lepage : « C'est quand même un comble de recevoir des leçons de morale de la part de quelqu'un comme elle ! Que faisait son mari lorsqu'elle était ministre de l'Environnement ? Ne dirigeait-il pas un cabinet d'avocat spécialisé, précisément dans l'environnement ? »
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Manque de chance pour lui, Corinne a bien d’autres défauts, mais pas celui dont l’accuse Eric Woerth, pas celui de conflit d’intérêt comme le laisse entendre Eric Woerth.
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Et la réponse cinglante de Corinne, publié par son staff, se suffit en elle-même : « Le cabinet d’avocats Huglo-Lepage, premier cabinet spécialisé dans le droit de l’environnement, a été fondé en 1978, bien avant la nomination de Corinne Lepage au gouvernement, par son époux Christian Huglo, un des fondateurs du droit de l’environnement dès 1969.
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En 1995, dès la nomination de Corinne Lepage au gouvernement, tous les dossiers de droit de l’environnement gérés par le cabinet Huglo-Lepage, y compris les dossiers historiques comme la pollution du Rhin suivi depuis 1980, le dossier de Creys-Malville, les dossiers nucléaires et les dossiers d ‘installations classées qui opposaient les clients du cabinet à l’Etat, ont immédiatement été transférés au cabinet Meyer pour éviter tout risque de conflit d’intérêt.
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Maître Christian Huglo s’est alors reconverti dans le droit des collectivités locales et des juridictions financières publiques. Christian Huglo, ayant été en contact à l’époque avec Eric Woerth dans certains dossiers, s’étonne que l’actuel ministre du travail ne se souvienne de ce changement d’activité. Le cabinet Huglo-Lepage n’a repris son activité dans le domaine du droit de l’environnement public qu’après le départ de Corinne Lepage du gouvernement.
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Corinne Lepage tient également à rappeler que le cabinet avait enfin changé de nom, son nom ayant été supprimé pour éviter toute confusion et mélanges de genres. »
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Encore une fois, l’arroseur Woerth arrosé. Il doit y prendre gout à mon avis !
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1 commentaire:
suite ton message du 26 août, comme je suis heureux de n'avoir plus à subir l'ignorance de tous ceux qui se prétendent "pro" du transport !!!
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