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Mardi 7 avril 2009 :
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Je suis désolé mais aujourd’hui, pas de long message et heure inhabituelle de mise en ligne, obligation personnelle oblige.
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Mais comme je ne veux vous laisser devant une « page blanche », je me permets de mettre en ligne mon interrogation du moment qui a trait à ce qui s’est passé à Strasbourg.
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Tout d’abord une mise au point : Je ne considère pas que la violence soit la solution a un quelconque problème, même si, dans l’Histoire (avec un grand « H ») on peut trouver quelques exemples où elle a aidé à la résolution de situations inextriquables.
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Pour Strasbourg, je me pose par contre la question de savoir comment un dispositif policier aussi important a pu aussi facilement se faire déborder par les « black blocs » dans un premier temps puis par les casseurs dans un deuxième.
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Nos amis allemands ont malheureusement une longue habitude de combat contre ces groupes plus qu’extrémistes que sont les « Black Blocs », ces petits groupes autonomes d’une dizaine de « combattants », extrêmement mobile, opérant toujours en coordination les uns avec les autres, difficilement repérable pour qui ne les connait pas, ayant l’habitude de se fondre dans la masse, et qui ont pour unique finalité d’attaquer les forces de l’ordre, « bras armé du capitalisme », et détruite au sens premier du terme les symboles d’une société qu’ils haïssent. (Banques, institutions officielles, sièges des multinationales, caméra de surveillance, etc.
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Depuis vingt ans, ils accompagnent tous les sommets internationaux, de Seattle à Davos en passant par Gênes et Strasbourg, semant le désordre. Et dernière précision, contrairement à ce qu'avancent certains journalistes, ces groupes ne sont pas l'apanage de nos amis allemands mais sont bel et bien présents dans la plupart des pays occidentaux y compris en France.
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Or, à l’arrivée, que constate-t’on ? Que visiblement l’information n’est pas passée entre les forces de sécurité allemande et française. Les « Black Blocs » ont pu opérer en toute impunité sur le territoire français durant près de deux heures avant de laisser la place aux habituels casseurs.
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Et heureusement que les allemands ont eu la présence d’esprit de bloquer le Pont de l’Europe pour éviter aux extrémistes de leur pays de rejoindre ceux déjà en France.
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Soit on a sous-estimé les « Black Blocs », soit on a fauté dans la réaction car j’écarte d’office l’hypothèse qu’on les a volontairement laissé faire, impensable dans une démocratie qui se respecte.
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Tout ça ne semble pas bien clair voire même pas bien sérieux !
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Mardi 7 avril 2009 :
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Je suis désolé mais aujourd’hui, pas de long message et heure inhabituelle de mise en ligne, obligation personnelle oblige.
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Mais comme je ne veux vous laisser devant une « page blanche », je me permets de mettre en ligne mon interrogation du moment qui a trait à ce qui s’est passé à Strasbourg.
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Tout d’abord une mise au point : Je ne considère pas que la violence soit la solution a un quelconque problème, même si, dans l’Histoire (avec un grand « H ») on peut trouver quelques exemples où elle a aidé à la résolution de situations inextriquables.
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Pour Strasbourg, je me pose par contre la question de savoir comment un dispositif policier aussi important a pu aussi facilement se faire déborder par les « black blocs » dans un premier temps puis par les casseurs dans un deuxième.
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Nos amis allemands ont malheureusement une longue habitude de combat contre ces groupes plus qu’extrémistes que sont les « Black Blocs », ces petits groupes autonomes d’une dizaine de « combattants », extrêmement mobile, opérant toujours en coordination les uns avec les autres, difficilement repérable pour qui ne les connait pas, ayant l’habitude de se fondre dans la masse, et qui ont pour unique finalité d’attaquer les forces de l’ordre, « bras armé du capitalisme », et détruite au sens premier du terme les symboles d’une société qu’ils haïssent. (Banques, institutions officielles, sièges des multinationales, caméra de surveillance, etc.
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Depuis vingt ans, ils accompagnent tous les sommets internationaux, de Seattle à Davos en passant par Gênes et Strasbourg, semant le désordre. Et dernière précision, contrairement à ce qu'avancent certains journalistes, ces groupes ne sont pas l'apanage de nos amis allemands mais sont bel et bien présents dans la plupart des pays occidentaux y compris en France.
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Or, à l’arrivée, que constate-t’on ? Que visiblement l’information n’est pas passée entre les forces de sécurité allemande et française. Les « Black Blocs » ont pu opérer en toute impunité sur le territoire français durant près de deux heures avant de laisser la place aux habituels casseurs.
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Et heureusement que les allemands ont eu la présence d’esprit de bloquer le Pont de l’Europe pour éviter aux extrémistes de leur pays de rejoindre ceux déjà en France.
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Soit on a sous-estimé les « Black Blocs », soit on a fauté dans la réaction car j’écarte d’office l’hypothèse qu’on les a volontairement laissé faire, impensable dans une démocratie qui se respecte.
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Tout ça ne semble pas bien clair voire même pas bien sérieux !
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