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Lundi 12 octobre 2009 :
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En ce lundi, après la tourmente qui a touché Vitrolles à la suite de l’enterrement du maire, je vais me contenter de faire ce bref commentaire sur les événements de Poitiers.
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Tout d’abord une mise au point : Je ne considère pas que la violence soit la solution a un quelconque problème, même si, dans l’Histoire (avec un grand « H ») on peut trouver quelques exemples où elle a aidé à la résolution de situations inextricables.
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Lors du sommet de Strasbourg, je m’étais étonné que les médias et les autorités françaises puissent découvrir un « phénomène nouveau », en l’occurrence l’existence des « black bloc ». Pour mémoire, les « black bloc » sont de petits groupes autonomes d’une dizaine de « combattants », extrêmement mobile, opérant toujours en coordination les uns avec les autres, difficilement repérable pour qui ne les connait pas, ayant l’habitude de se fondre dans la masse, et qui ont pour unique finalité d’attaquer les forces de l’ordre, « bras armé du capitalisme », et détruite au sens premier du terme les symboles d’une société qu’ils haïssent. (Banques, institutions officielles, sièges des multinationales, caméra de surveillance, etc….)
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Etonné car ce phénomène est bien connu dans les pays voisins et plus généralement dans les pays du G8 et j’étais très surpris des réactions des autorités françaises qui semblaient découvrir ce phénomène.
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Donc, de nouveau, ces groupuscules ont été à l’œuvre dans les rues de Poitiers et de nouveau les autorités se sont fait déborder avec une facilité déconcertante et les médias ont semblé découvrir pour la première fois ce type d’action.
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Pourtant, ce qui pour ma part m’étonne, c’est que ce phénomène qui touche avant tout les pays anglo-saxons ne soient pas encore implanté de manière plus voyante sur notre territoire.
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Pourtant, les « black bloc » sont des habitués de nos contrées et si l’on lit, ne serait ce que de temps en temps, « IMC », « l’Independant Media Center », média internet alternatif au sens politique du terme qui relaie, entre autre prise de position extrême, les actions de ces groupes, tout laissait prévoir une action imminente avec la montée de l’exaspération au sein des « black bloc » français.
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Car, malheureusement, ils existent aussi en France mais jusqu’à présent, c’est plutôt en Allemagne ou en Hollande qu’ils faisaient parler d’eux.
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Donc, à mon avis, Poitiers ne doit pas être traité comme un épiphénomène mais comme le signe du déplacement du combat des « black bloc » sur notre territoire.
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Affaire à suivre donc …
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Lundi 12 octobre 2009 :
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En ce lundi, après la tourmente qui a touché Vitrolles à la suite de l’enterrement du maire, je vais me contenter de faire ce bref commentaire sur les événements de Poitiers.
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Tout d’abord une mise au point : Je ne considère pas que la violence soit la solution a un quelconque problème, même si, dans l’Histoire (avec un grand « H ») on peut trouver quelques exemples où elle a aidé à la résolution de situations inextricables.
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Lors du sommet de Strasbourg, je m’étais étonné que les médias et les autorités françaises puissent découvrir un « phénomène nouveau », en l’occurrence l’existence des « black bloc ». Pour mémoire, les « black bloc » sont de petits groupes autonomes d’une dizaine de « combattants », extrêmement mobile, opérant toujours en coordination les uns avec les autres, difficilement repérable pour qui ne les connait pas, ayant l’habitude de se fondre dans la masse, et qui ont pour unique finalité d’attaquer les forces de l’ordre, « bras armé du capitalisme », et détruite au sens premier du terme les symboles d’une société qu’ils haïssent. (Banques, institutions officielles, sièges des multinationales, caméra de surveillance, etc….)
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Etonné car ce phénomène est bien connu dans les pays voisins et plus généralement dans les pays du G8 et j’étais très surpris des réactions des autorités françaises qui semblaient découvrir ce phénomène.
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Donc, de nouveau, ces groupuscules ont été à l’œuvre dans les rues de Poitiers et de nouveau les autorités se sont fait déborder avec une facilité déconcertante et les médias ont semblé découvrir pour la première fois ce type d’action.
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Pourtant, ce qui pour ma part m’étonne, c’est que ce phénomène qui touche avant tout les pays anglo-saxons ne soient pas encore implanté de manière plus voyante sur notre territoire.
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Pourtant, les « black bloc » sont des habitués de nos contrées et si l’on lit, ne serait ce que de temps en temps, « IMC », « l’Independant Media Center », média internet alternatif au sens politique du terme qui relaie, entre autre prise de position extrême, les actions de ces groupes, tout laissait prévoir une action imminente avec la montée de l’exaspération au sein des « black bloc » français.
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Car, malheureusement, ils existent aussi en France mais jusqu’à présent, c’est plutôt en Allemagne ou en Hollande qu’ils faisaient parler d’eux.
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Donc, à mon avis, Poitiers ne doit pas être traité comme un épiphénomène mais comme le signe du déplacement du combat des « black bloc » sur notre territoire.
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Affaire à suivre donc …
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3 commentaires:
Malheureusement dans ce système je constate de plus en plus que les mots ne suffisent plus. Il faut faire la différence entre ceux qui cassent pour rien (ceux qui rêvent d'une porche, de dealer tranquille sans qu'on les ennuie) et ceux qui cassent parce qu'on vit dans une société ignobles : parce qu'ils sont anticapitalistes : ça ne plait pas, contre l'otan : ça ne plait pas, contre l'impérialisme : ça ne plait pas, altermondialiste : ça ne plait pas, révolutionnaire : ça ne plait pas. faudrait rentrer dans ce système à la con, tu bosses, tu consommes, tu baises, tu chies, tu bouffes de la merde dans ton assiettes, et tu te la ferme(vous parlez d'un programme de vie, eh bien c'est ça qu'on attends du peuple). Les black bloc je les vois comme des purs comme des gens qui ont de belles idées, de beaux sentiments,ils sont loin d'être imbéciles, ils s'intéressent à ce qu'est en train de devenir la société dans laquelle on survit difficilement où chaque jour est une lutte. les black bloc luttent à leur façon et ils ont des trippes. Ils ne se rabaissent pas, ne se soumettent pas. dans un monde où l'hypocrisie est légion, ils n'y adhèrent pas. Le monde est pourris, le capitalisme fout des vies en l'air et la planète avec. les gens s'abrutissent de programmes télé d'une bêtise ignoble, suive la vie des people plutôt que de s'intéresser à la dette du tiers monde. Ca ne sert à rien de glisser un bulletin dans une urne, c'est les révolutionnaires qui changeront le monde où alors rien ne changera. On peut continuer encore comme ça dans 20 ans, c'est ce que beaucoup espèrent : les faibles, les lâches, ceux qui du moment qu'ils ont qq chose dans leur assiette ferme leur gueule par commodité.les restau. du coeur étaient là il y a 20 ans, si rien ne change, ils seront encore là dans 20 ans.
espérer ne sert à rien ce n'est pas un verbe d'action. quand un système va trop loin et que personne ne peut le freiner, alors je pense sincèrement qu'il faut le détruire. je ne suis pas un black bloc, je suis extrême gauche, altermondialiste, anti capitaliste, écolo., je suis pour la révolution, et je peux encore me regarder dans la glace, je n'en dirais pas autant de certains qui viennent donner des leçons de morale au peuple.
Bien entendu, ce commentaire n'engage que celui qui le fait
JCM
NPA ? Nulle Part Ailleurs ... ça me rapelle les Guignols sur Canal Plus ....
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