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Mardi 13 octobre 2009 :
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La future nomination à la tête de l’EPAD de Jean Sarkozy a déclenché une tempête politique comme nous n’en avions pas connu depuis longtemps. Chacun y va de son commentaire et de sa phrase assassine. De mon côté, je ne vais pas déroger à la règle et y aller à mon tour de ma petite analyse en évitant délibérément de parler de la filière « fils de » pour accentuer mon propos.
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Tout d’abord, une comparaison : à notre droite Jean Sarkozy, 23 ans, en deuxième année de droit qui brigue sans aucune concurrence la direction de le plus importantes établissement public de France, premier quartier d’affaire d’Europe, qui accueille 2.500 sièges sociaux et 150.000 salariés sur 3 millions de mètres carrés de bureaux regroupés sur 160 hectares situés principalement sur les communes de Puteaux et Courbevoie avec un budget d’1 milliard d’euros !.
Je me permets donc de douter de la compétence et de l’expérience d’un « gamin » de 23 ans sans aucun bagage dans ce type de gestion et qui va devoir de surcroit gérer la fusion de l’Epad avec l’Epasa, établissement public en charge d’urbaniser une partie de la ville de Nanterre, voisine du quartier d’affaire.
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Autant il est vrai que la valeur n’attend pas le nombre des années, autant on peut être troublé de l’arrivée de ce fringuant jeune homme à la tête de la tirelire haut seinoise qui, on l’espère sera bien encadré par Patrick Devedjian (trop vieux pour garder la tête de l’EPAD mais pas assez pour quitter son conseil d’administration) pour lui éviter les plus grosses erreurs de jeunesse.
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De même, la mission qui va lui être assigné en l’occurrence la fusion des deux établissements publics loin de me rassurer m’inquiète bien au contraire. A part combler le déficit du premier et permettre d’urbaniser à outrance le second, je ne vois pas d’autre raison à cette fusion. Mais notre jeune homme de 23 ans va-t-il être à la hauteur d’une telle mission ?
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Vous l’aurez compris, ce n’est point le fait qu’il soit « fils de » qui me gêne, mais sa jeunesse et son manque d’expérience pour une telle charge et une telle mission.
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Le proche avenir nous dira si j’ai eu raison de m’inquiéter !
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Mardi 13 octobre 2009 :
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La future nomination à la tête de l’EPAD de Jean Sarkozy a déclenché une tempête politique comme nous n’en avions pas connu depuis longtemps. Chacun y va de son commentaire et de sa phrase assassine. De mon côté, je ne vais pas déroger à la règle et y aller à mon tour de ma petite analyse en évitant délibérément de parler de la filière « fils de » pour accentuer mon propos.
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Tout d’abord, une comparaison : à notre droite Jean Sarkozy, 23 ans, en deuxième année de droit qui brigue sans aucune concurrence la direction de le plus importantes établissement public de France, premier quartier d’affaire d’Europe, qui accueille 2.500 sièges sociaux et 150.000 salariés sur 3 millions de mètres carrés de bureaux regroupés sur 160 hectares situés principalement sur les communes de Puteaux et Courbevoie avec un budget d’1 milliard d’euros !.
Je me permets donc de douter de la compétence et de l’expérience d’un « gamin » de 23 ans sans aucun bagage dans ce type de gestion et qui va devoir de surcroit gérer la fusion de l’Epad avec l’Epasa, établissement public en charge d’urbaniser une partie de la ville de Nanterre, voisine du quartier d’affaire.
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Autant il est vrai que la valeur n’attend pas le nombre des années, autant on peut être troublé de l’arrivée de ce fringuant jeune homme à la tête de la tirelire haut seinoise qui, on l’espère sera bien encadré par Patrick Devedjian (trop vieux pour garder la tête de l’EPAD mais pas assez pour quitter son conseil d’administration) pour lui éviter les plus grosses erreurs de jeunesse.
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De même, la mission qui va lui être assigné en l’occurrence la fusion des deux établissements publics loin de me rassurer m’inquiète bien au contraire. A part combler le déficit du premier et permettre d’urbaniser à outrance le second, je ne vois pas d’autre raison à cette fusion. Mais notre jeune homme de 23 ans va-t-il être à la hauteur d’une telle mission ?
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Vous l’aurez compris, ce n’est point le fait qu’il soit « fils de » qui me gêne, mais sa jeunesse et son manque d’expérience pour une telle charge et une telle mission.
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Le proche avenir nous dira si j’ai eu raison de m’inquiéter !
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1 commentaire:
tu l'as bien dit : jeune sans beaucoup d'expérience, mais pas seul aux commandes ... heureusement. (un peu comme le futur maire de Vitrolles, jeune mais avec un JN Guerini qui tire les ficelles depuis Marseille !)
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