mercredi 10 novembre 2010

Jour après jour, au fil de la politique

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Mercredi 10 novembre 2010 :
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La rubrique que vous attendez tous : l’actualité vitrollaise et nationale (politique ou non) au jour le jour. Les coups de cœur comme les coups de gueule, les questions comme les réponses !
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Mercredi 3 novembre : Après Marseille, Figari. Pas besoin de mettre Ryanair en examen pour que la société low-cost prenne ses cliques et ses claques après avoir bien pressuré les collectivités territoriales.

Et dire qu’à Marseille, certains prennent sa défense !

Ne disons plus rien, ce sujet à tendance à m’énerver
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Jeudi 4 novembre : Après avoir regardé le final de « Bones », je subis une pression assez phénoménale pour basculer sur TF1 et assister à la finale de « Masterchief », ce qui me permet d’assister au triomphe d’Anne, la fermière qui rêve d’ouvrir une auberge.
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Bon, disons le tout net, elle n’était pas ma préféré, j’ai toujours soutenu les « locaux », Marine et Romain. Mais il faut quand même avouer que sur ce type de compétition, elle était au dessus de la moyenne.
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Ceci-dit, je dois quand même avouer que j’avais un petit faible pour Marine et que j’aimerais travailler dans l’éducation nationale pour me permettre d’avoir un congé formation de douze mois pour devenir cuisinier !
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Vendredi 5 novembre : Pierre a arraché ses pommiers hier. Il a tenu la promesse qu’il avait fait le 1er octobre dernier. Avec un prix de vente de 17,8 centimes d’euro le kilo, autant dire que le travail se faisait à perte.

Depuis hier, Pierre Priolet n’est plus agriculteur et il a fait arracher ses pommiers.

Triste pour notre agriculture.
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Samedi 6 novembre : Comme vous le savez, le samedi est réservé aux courses. Je me retrouve donc le matin dans les grandes surfaces et, suite à un oubli malencontreux, l’après-midi sur le coup de 15 h 30’ à Carrefour Vitrolles.

Donc, je peux affirmer sans me tromper, que je sais désormais où les français sont allés manifester. Pas sur le Vieux-Port mais aux caisses automatiques de ce temple de la consommation local. Je crois que j’ai battu le temps d’attente en caisse et le nombre de fois où je me suis fait rentrer dedans par des chariots bondés.

Je n’ose penser à ce que seront ces grandes surfaces à la veille de Noël. Je pense que je vais entrer en hibernation !
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Dimanche 7 novembre : Enfin un week-end de calme et de tranquillité qui me permet de rester sur Vitrolles. Bon, je dois avouer que le temps exécrable y a été pour beaucoup et que, du coup, j’ai pu faire ma première grasse matinée depuis des temps immémoriaux. Au point que ma fille, inquiète, est venue voir si je n’étais pas malade !

Avouons-le : cela m’a fait beaucoup de bien et permis de recharger des accus bien entamé depuis les vacances !
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Lundi 8 novembre : J’ai une position ambivalente concernant Dominique de Villepin. Il a tendance à m’horripiler et je ne peux oublier son passé, aussi bien à Matignon qu’à la Place Beauvau. J’admire aussi l’homme du discours de New-York et ne peut m’empêcher de sourire à sa pique contre Nicolas Sarkozy. Sarkozy, problème de la France … Voilà quelque chose que j’aurais pu écrire.

Reste le problème soulevé par la polémique. Peut-on tout dire sur le Président de la République ?

A mon sens oui. Ce n’est pas la réponse que j’aurais fait il y cinq ans par exemple. Mais, dans le cas qui nous intéresse, celui-ci a enlevé lui-même la bonde. Par son attitude même, il justifie lui-même toutes les attaques dont il est victime.

Triste pour la Présidence et triste pour la France ! .
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Mardi 9 novembre : En ce jour de RTT, mes pérégrinations m’amènent à me retrouver en tout début d’après-midi dans un snack fréquenté par de jeunes lycéens, à première vue en seconde ou en première. Jusque là, rien de bien particuliers.

Sauf qu’en buvant mon café, je ne peux pas m’empêcher d’entendre les conversations des tables voisines. Et, à ce moment là, je suis atterré. Atterré parce que les propos tenu par ces jeunes seraient plus en phase avec une certaine idéologie véhiculée par les militants d’un certain parti extrémiste.

Et je me pose la question du devenir de ces jeunes et surtout de la cohabitions entre toutes les communautés pour ne pas dire les religions.

Pourquoi suis-je soudain très pessimistes ?
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