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Mardi 30 mars 2010 :
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Je vais rebondir sur un article paru hier dans La Provence et concernant les chiffres de la sécurité routière sur notre commune. Donc, pour l’année 2009, pas moins de 104 accidents ayant nécessité l’intervention des secours et dix morts à l’arrivée. Et une année 2010 qui s’annonce mal avec déjà trois morts dont celle de Vanessa qui a bouleversé Vitrolles parce que totalement gratuite.
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Donc, pour faire court, s’il y a des vitesses limitées, ce n’est pas pour enrichir les fabricants de panneaux comme je l’ai entendu au moins deux fois l’année dernière, les ralentisseurs ne sont pas non plus construit pour forcement l’unique agrément de Duriez et une répression policière par forcement pour gonfler les chiffres des commissariats.
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Je ne vais pas épiloguer sur ce douloureux sujet si ce n’est que je ne peux conseiller à tous le monde d’être prudent dès le moment où vous prenez le volant.
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Je terminerais par une anecdote : Lorsque j’étais adolescent, il y a très longtemps de cela ; j’ai été marqué par la lecture d’un pavé historique qui n’avait rien à voir avec la sécurité routière mais qui me fit voir la voiture sous un autre jour. Ce livre, ce n’était ni plus ni moins que « L’histoire du Far-West ». Quel rapport entre les cow-boys et les automobilistes me direz-vous ? Tout simplement que l’auteur, pour expliquez le phénomène des revolvers en possession de chaque cow-boy a comparé les revolvers aux voitures et le phénomène de la vitesse et de l’imprudent au fait de posséder un « revolver/voiture »
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« Le revolver donnait au cow-boy un sentiment de toute puissance qui le poussait à avoir une attitude exacerbée et à oublier toute lucidité au profit d’une sécurité factice. Les cow-boys montraient leur virilité en maniant le revolver. Les duels servaient d’exutoires et de faits d’armes. Tout comme les anciens cow-boys qui portaient fièrement leurs armes, le propriétaire d’une voiture montre sa virilité en exhibant les performance de sa dernière acquisition et va rouler à tombeau ouvert pour braver l’interdit et retrouver un peu de la liberté de ses ancêtres cow-boys »
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Visionnaire l’auteur quand on pense que cet ouvrage date de 1967 !
Mardi 30 mars 2010 :
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Je vais rebondir sur un article paru hier dans La Provence et concernant les chiffres de la sécurité routière sur notre commune. Donc, pour l’année 2009, pas moins de 104 accidents ayant nécessité l’intervention des secours et dix morts à l’arrivée. Et une année 2010 qui s’annonce mal avec déjà trois morts dont celle de Vanessa qui a bouleversé Vitrolles parce que totalement gratuite.
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Donc, pour faire court, s’il y a des vitesses limitées, ce n’est pas pour enrichir les fabricants de panneaux comme je l’ai entendu au moins deux fois l’année dernière, les ralentisseurs ne sont pas non plus construit pour forcement l’unique agrément de Duriez et une répression policière par forcement pour gonfler les chiffres des commissariats.
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Je ne vais pas épiloguer sur ce douloureux sujet si ce n’est que je ne peux conseiller à tous le monde d’être prudent dès le moment où vous prenez le volant.
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Je terminerais par une anecdote : Lorsque j’étais adolescent, il y a très longtemps de cela ; j’ai été marqué par la lecture d’un pavé historique qui n’avait rien à voir avec la sécurité routière mais qui me fit voir la voiture sous un autre jour. Ce livre, ce n’était ni plus ni moins que « L’histoire du Far-West ». Quel rapport entre les cow-boys et les automobilistes me direz-vous ? Tout simplement que l’auteur, pour expliquez le phénomène des revolvers en possession de chaque cow-boy a comparé les revolvers aux voitures et le phénomène de la vitesse et de l’imprudent au fait de posséder un « revolver/voiture »
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« Le revolver donnait au cow-boy un sentiment de toute puissance qui le poussait à avoir une attitude exacerbée et à oublier toute lucidité au profit d’une sécurité factice. Les cow-boys montraient leur virilité en maniant le revolver. Les duels servaient d’exutoires et de faits d’armes. Tout comme les anciens cow-boys qui portaient fièrement leurs armes, le propriétaire d’une voiture montre sa virilité en exhibant les performance de sa dernière acquisition et va rouler à tombeau ouvert pour braver l’interdit et retrouver un peu de la liberté de ses ancêtres cow-boys »
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Visionnaire l’auteur quand on pense que cet ouvrage date de 1967 !
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